C'est le point essentiel : être prêt quand c'est son tour. Même comparaison avec le surf. En plein été c'est la chine chez moi. Je comprends parfaitement que tout le monde a droit à son plaisir et je ne prends pas toutes les vagues pour en laisser au touriste. Par contre le gars il faut qu'il soit prêt quand c'est son tour. Je suis sympa et je laisse le droit à l'erreur mais à la deuxième s'il y est pas prêt et qu'il ne shoote pas alors là pas de pitié je ne lui laisse pas de vagues.Flaupchotte a écrit :david14000 a écrit :Le vrai problème, c'est la cohabitation dans un même espace de jeu de gens qui n'ont pas les mêmes aspirations (sport-loisirs, compétition, activité du w-e,…) et le même niveau.
ça reviendrait dans d'autres sports à mélanger des sportifs entrainés et des sportifs du dimanche…
Le problème ne vient pas de la cohabitation. Ma passion première est le surf/bodyboard que je pratique depuis 25 ans. On peut se retrouver à l'eau avec des pros qui prendront forcément plus de vagues que vous mais si vous respecter les régles de priorités pas de souci par contre à l'inverse vous allez manger cher. C'est peut-être ce qui manque au golf (prendre une balle sur la tête parce que tu es en train de marquer ta carte sur le green, tu vas pas le faire deux fois) mais heureusement il y a l'étiquette (quoique des fois malheureusement).
On le répétera jamais assez, jouer rapidement c'est être prêt (club choisi, gant mis) quand c'est à son tour de jouer, placer correctement le sac, optimiser le chemin vers la balle, ne pas chercher abusivement, noter les scores sur le départ suivant pendant que les autres jouent etc
Lors d'un parcours on a le temps de papoter avec ses partenaires, de boire, de manger mais quand c'est ton tour il faut être pret.
). Nous jouons correctement, sans plus, mais dans un bon rythme et sommes sans arrêt en mode tampon. Avant d'interpeller nos prédécesseurs, nous arrivons sur une section du parcours où on peut visuellement identifier 3 parties en même temps. En fait, les lambins n'étaient pas ceux de devant mais la partie précédente 
. En un coup d'oeil, on voyait pourquoi : aller-retours fréquents entre sac et balle, du Bushnell en veux-tu-en-voilà, mauvaise organisation autour des greens et au putting. L'ordre des départs étant, comme presque partout, en index croissants, c'étaient donc théoriquement des "bons" 
