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tu peux trouver de très bonnes Pro V1 sur le net (site spécialisés) en lake balls grade A ou mieux ... donc ta méditation sera plus sportive qu'économique ! 

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bois 5 et 7 EQ1-NX
(ou bois 5 et 7 929)et 9 TW 929 S2S white
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-Chaque fois que je fais un birdie, je dois faire 2 triple bogey pour rétablir l'équilibre fondamental de l'univers.
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C’était une excellente suggestion ! Je connaissais le principe de ces balles d’occasions de qualité, mais je n’avais jamais creusé la chose. J’ai donc commandé et déjà reçu des Pro V1x, je n’ai pas tout regardé en détail mais elles paraissent vraiment en super bon état.eglishadow a écrit :tu peux trouver de très bonnes Pro V1 sur le net (site spécialisés) en lake balls grade A ou mieux ... donc ta méditation sera plus sportive qu'économique !
Ne pouvant pas jouer ce weekend, j’ai improvisé un parcours tard jeudi soir, dans le style « joue tant que tu y vois quelque chose ». En jouant assez vite (même si j’ai dû attendre un peu au début), j’ai complété 14 trous en 2h20, ce qui est plutôt rapide en tenant compte de la topographie vallonnée de Bossey. Pas mal de bonnes choses (7 pars) mais aussi un putting & petit jeu aux abonnés absents, ce qui a saccagé la plupart des autres trous (2 triples et 3 doubles sur les 7 autres trous). Quelques ratés sans dommage avec mon driver, et à nouveau un jeu de fers chaud patate ! Du tee au green, je suis vraiment pas mal ces temps, mais ensuite …
Mon emploi du temps s’allégeant enfin, je vais aller m’entraîner sérieusement mercredi soir puis jouer 18 trous jeudi pour tenter de valider le travail effectué, en vue de ma première compétition de l’année samedi à Vuissens, une manche de qualification suisse du World Golfers Championship, un tournoi amateur mondial regroupant 38 pays (mais visiblement pas la France).
Des falaises vertigineuses de Cape Kidnappers en Nouvelle Zélande aux décors idylliques de la côte de Maurice,
des paysages désolés de Wolf Creek aux Etats Unis à la légende de St Andrews en Ecosse, retrouvez
mon itinéraire golfique et photographique à travers vingt-et-un pays et cinq continents
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C'est ballot, j'y serai Dimanche. On se rate de peu.AuldCom a écrit : en vue de ma première compétition de l’année samedi à Vuissens,
Sinon, on a encore rien calé pour cette année (que ce soit Bossey ou Lavaux)

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1h15 d’entraînement au petit jeu et au putting mercredi soir, le premier du genre depuis … un an ??
C’était pas mal, surtout pour le petit jeu, où il ne m’a en fait fallu que de tous petits ajustements.
Parcours jeudi soir à Bossey, avec 16 trous joués avant la nuit. Gros problèmes de mise en jeu, mais à nouveau des fers solides. Je n’ai pas vraiment réussi à appliquer le travail de la veille sur le putting, par contre énormes progrès au petit jeu ! Un aller correct malgré un triple, retour plus aléatoire, avec il est vrai les derniers trous joués dans des conditions de luminosité un peu précaire.
Première compétition de l’année samedi à Vuissens. Mon échauffement est assez convaincant mais mon dos me fait souffrir dès le début… Partie très bizarre qui va être l’inverse de mes habitudes. Bois et fers sont à la ramasse, par contre mon petit jeu et mon putting sont chauds bouillants ! Je signe six chip/putt, donc cinq fois pour le par, et je rends une carte avec seulement 28 putts sur 17 trous (X au 9). Huit pars en tout pour une bonne carte de 35 points, malgré trois trous où je ne score pas (X + 2 doubles sans coup reçu). Si j’avais pu compter sur mon niveau de fer de ces derniers temps, il y avait vraiment de la place pour une grosse grosse perf’ …
Par contre, mon mal de dos du printemps semble être bien de retour, et ça fait vraiment ch*er…


Parcours jeudi soir à Bossey, avec 16 trous joués avant la nuit. Gros problèmes de mise en jeu, mais à nouveau des fers solides. Je n’ai pas vraiment réussi à appliquer le travail de la veille sur le putting, par contre énormes progrès au petit jeu ! Un aller correct malgré un triple, retour plus aléatoire, avec il est vrai les derniers trous joués dans des conditions de luminosité un peu précaire.
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pour ton dos , je vais tenter un truc, que je te mets en MP ou sur ton espace si tu veux
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comme tu veux mercieglishadow a écrit :pour ton dos , je vais tenter un truc, que je te mets en MP ou sur ton espace si tu veux
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Re: Mon espace : AuldCom
Météo correcte à Vuissens Samedi ?
J'y ai joué Dimanche pour un MP avec un collègue. Découverte pour ma part, et c'est un régal. J'aime beaucoup (plus que Lavaux).
Sur quels trous, tes croix ?
Soigne bien ton dos. Je n'aimerais pas te battre sur blessure physique, ou pire, abandon.
J'y ai joué Dimanche pour un MP avec un collègue. Découverte pour ma part, et c'est un régal. J'aime beaucoup (plus que Lavaux).
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Re: Mon espace : AuldCom
Depuis le temps que je te vante les qualités de Vuissens !!!! Grand beau mais beaucoup de vent, ce qui est de toute manière presque toujours le cas là-bas. Mais j'adore vraiment ce parcours.Kantziko a écrit :Météo correcte à Vuissens Samedi ?
J'y ai joué Dimanche pour un MP avec un collègue. Découverte pour ma part, et c'est un régal. J'aime beaucoup (plus que Lavaux).
Sur quels trous, tes croix ?
Soigne bien ton dos. Je n'aimerais pas te battre sur blessure physique, ou pire, abandon.
Double frustrant sur le 6 (1er par5). Avant le vent arrière, il est tout à fait atteignable en 2 (déjà fait plusieurs fois) mais mon driving étant un peu mort et avec le HL à droite, je le joue safe F4/F7 pour me laisser 90m. Là m'arrive la mésaventure que je raconte là viewtopic.php?f=72&t=23433&p=378692#p378692, ça m'énerve, me sort de ma partie, c'est con mais c'est comme ça. SW dans le bunker de gauche, sortie toppée dans le chachis derrière le green, un coup pour en sortir, chip/putt pour double.
Ensuite énorme cata au 9, avec un drive qui dépasse à peine les rouges, gratte, double contact, je ne suis pas encore sur le green après 7 coups, donc je relève...
Au 15, je trouve le chachis épais à gauche, deux coups pour en sortir, 3 coups pour atteindre le green et 2 putts, triple.
En sachant que j'ai arraché un bogey chanceux sur le 10 et que mon par sur le 18 s'est joué à rien avec mes deux premiers coups frôlant le HL à droite, on peut vraiment dire que j'ai totalement merdé mes par-5 !
Je vais me soigner t'inquiète, j'ai Crans au programme dans deux semaines. 10 jours avant l'Omega Masters, le parcours va être intéressant à jouer, je n'ai pas envie de manquer l'occasion.
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Re: Mon espace : AuldCom
peut-être que ton pb de dos est un peu en relation, ça peut arriver m^me si on ne le ressent pas vraiment sur le coup...
je t'ai mis en MP une solution que j'ai pour mes problèmes
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Re: Mon espace : AuldCom
Après deux semaines de pause pour remettre mon dos en place, j’ai joué samedi à Crans. Le parcours est en préparation pour recevoir dans dix jours l’Omega Masters (avec un beau plateau au passage, Jimenez, Dubuisson, Bjorn, Manassero, Donaldson, Colsaert, …), ce qui veut dire qu’il y a pas mal de « travaux » un peu partout (montage des tribunes, scoreboards, etc) sans que ça ne dérange pour autant vraiment le jeu. Par contre, les greens sont encore légèrement sablés et lents (chose normale afin de les avoir au top en temps voulu) alors que le rough est vraiment haut et pénalisant (là encore, afin de pouvoir le couper à bon escient d’ici à la semaine prochaine). J’y ai déjà joué il y a quelques années, mais pas mal de modifications ont été apportées au cours des deux dernières années, certaines concernant le jeu en lui-même (un trou entièrement redessiné, ajout d’OE sur deux autres, modifications de plusieurs bunkers, nouvelles aires de départ) mais surtout dans le but d’améliorer le drainage. Ces travaux étaient indispensables afin de permettre au parcours d’être prêt plus tôt dans l’année, la nature étant ce qu’elle est quand on se trouve à 1’500 mètres d’altitude. Du coup, le tournoi pourra être agendé en juillet - je crois que le Tour a d’ailleurs donné son accord de principe – afin d’éviter la concurrence avec les playoffs de la FexEx Cup. Ainsi, il y a fort à parier que de belles tête d’affiches (re)viendront le jour venu sur le Haut-Plateau, comme Adam Scott ou Sergio Garcia par exemple, tout deux résidents de Crans-Montana et membres du club.
A défaut des stars du Tour, je joue avec trois membres vraiment très sympathiques. Leur expertise va me permettre de bien anticiper les modifications du tracé, afin de ne pas me laisser surprendre par ce que j’ai en tête. En théorie du moins, car il faudrait au moins que mon jeu soit en place, ce qui n’est guère le cas. Gros problème à l’allumage avec mon long jeu, tout part à gauche. Et avec ce rough haut et encore humide de rosée en ce début de matinée, c’est mortel. Peu à peu, ça ne part plus à gauche, mais en slice. L’origine du mal est la même, je connais le remède, mais n’arrive pas à l’appliquer. Séance de practice obligatoire cette semaine, je n’ai pas l’intention d’offrir à Kantziko une victoire sur un plateau lors de notre MP prévu samedi.
Le n°7 est le trou signature de Crans. C’est un petit par-4 en dogleg droit, atteignable au drive par les pros depuis le backtee, mais aussi par les amateurs de mon espèce depuis les jaunes. Il ne faut pas surtout pas se laisser déconcentrer par le sublime panorama alpin nous faisant face, car le droit à l’erreur est faible en cas d’échec. J’ai 235 mètres pour l’entrée du green, avec une balle qui porte un peu plus que chez nous grâce à l’altitude. Même si mon driving est bien pourri, je tente le coup. La balle sort à gauche avant de revenir dans un fade superbe. Je manque le green à gauche, mais trouve le très étroit fairway y amenant, j’avais la longueur nécessaire, dommage. Ce coup est néanmoins un peu le seul coup d’éclat de ma partie (je signe un par).
Si une bonne partie des modifications apportées au tracé consistent surtout à le durcir pour les pros, les amateurs ont eux eu plus de chance. Sis au cœur d’une des plus prestigieuses stations de Suisse, le club accueille grand nombre de visiteurs de tous horizons, et il a été décidé de leur faciliter un peu la tâche. Ainsi, plusieurs trous ont été quelque peu raccourcis, et c’est tout particulièrement flagrant sur le n°9. Ce costaud par-5 en montée mesurait encore 546 mètres des jaunes il y a peu. Avec vent de face et fairways humides (situation fréquente), il devenait virtuellement impossible à toucher en trois, c’était monstrueux ! Pour le rendre plus amical, il ne mesure plus que 467 mètres désormais. Ca ne m’a pas empêché de signer un double…
Je sauve un peu les apparences sur les par-3, je galère sur les par-4 et me perd dans les méandres des par-5… Heureusement que le parcours est beau, que le cadre est sublime et notre partie très sympa, car si je me concentre uniquement sur ma prestation, je roulerais sur mon sac avec ma voiture. Mais non, je déconne, je suis toujours invaincu en MP contre Kantziko, je compte bien me battre pour garder intact cette statistique !

Et mon dos dans tout ça ? Je sens bien que tout n'est pas parfaitement huilé, mais c'est sous contrôle, sans douleur pendant et surtout après l'effort. Je me suis même permis le luxe de faire de la rando en montagne hier avec ma fille de 2 ans dans un sac dorsal, sans plus de conséquence !!
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Le n°7 est le trou signature de Crans. C’est un petit par-4 en dogleg droit, atteignable au drive par les pros depuis le backtee, mais aussi par les amateurs de mon espèce depuis les jaunes. Il ne faut pas surtout pas se laisser déconcentrer par le sublime panorama alpin nous faisant face, car le droit à l’erreur est faible en cas d’échec. J’ai 235 mètres pour l’entrée du green, avec une balle qui porte un peu plus que chez nous grâce à l’altitude. Même si mon driving est bien pourri, je tente le coup. La balle sort à gauche avant de revenir dans un fade superbe. Je manque le green à gauche, mais trouve le très étroit fairway y amenant, j’avais la longueur nécessaire, dommage. Ce coup est néanmoins un peu le seul coup d’éclat de ma partie (je signe un par).
Si une bonne partie des modifications apportées au tracé consistent surtout à le durcir pour les pros, les amateurs ont eux eu plus de chance. Sis au cœur d’une des plus prestigieuses stations de Suisse, le club accueille grand nombre de visiteurs de tous horizons, et il a été décidé de leur faciliter un peu la tâche. Ainsi, plusieurs trous ont été quelque peu raccourcis, et c’est tout particulièrement flagrant sur le n°9. Ce costaud par-5 en montée mesurait encore 546 mètres des jaunes il y a peu. Avec vent de face et fairways humides (situation fréquente), il devenait virtuellement impossible à toucher en trois, c’était monstrueux ! Pour le rendre plus amical, il ne mesure plus que 467 mètres désormais. Ca ne m’a pas empêché de signer un double…
Je sauve un peu les apparences sur les par-3, je galère sur les par-4 et me perd dans les méandres des par-5… Heureusement que le parcours est beau, que le cadre est sublime et notre partie très sympa, car si je me concentre uniquement sur ma prestation, je roulerais sur mon sac avec ma voiture. Mais non, je déconne, je suis toujours invaincu en MP contre Kantziko, je compte bien me battre pour garder intact cette statistique !


Et mon dos dans tout ça ? Je sens bien que tout n'est pas parfaitement huilé, mais c'est sous contrôle, sans douleur pendant et surtout après l'effort. Je me suis même permis le luxe de faire de la rando en montagne hier avec ma fille de 2 ans dans un sac dorsal, sans plus de conséquence !!

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Re: Mon espace : AuldCom
Hmmmmm
Pas de photos ?
Rohhhhhhhhhh
Pas de photos ?
Rohhhhhhhhhh

2013 : 23.8 - 16.4
2014 : 16.4 - 14.6 - 14.8
2015 : 14.8 - 14.9 - 9.6 - 9.8....
2016 : 9.8 - 10.1 - 7.4 - 7.6
2017 : .......................
2018 : 7.6 - 7.7 - 7.8 - 7.9 - 8.0 - 8.1 - 8.2 - 8.3 - 8.4 - 8.5 - 8.5 - 8.6
2019 : 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.8 - 8.9
2014 : 16.4 - 14.6 - 14.8
2015 : 14.8 - 14.9 - 9.6 - 9.8....
2016 : 9.8 - 10.1 - 7.4 - 7.6
2017 : .......................
2018 : 7.6 - 7.7 - 7.8 - 7.9 - 8.0 - 8.1 - 8.2 - 8.3 - 8.4 - 8.5 - 8.5 - 8.6
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Re: Mon espace : AuldCom
Le parcours est déjà dispo dans ma galerie. J'avais bien prévu d'en faire, mais les conditions de lumières étaient un peu pourries, je ne me suis donc pas pris la tête. Mais je vais sans doute faire une toute petite mise à jour avec 3-4 clichés potables que j'ai pu prendre.Benito78 a écrit :Hmmmmm
Pas de photos ?
Rohhhhhhhhhh
Mais pour l'illustration, voilà une photo du trou n°7 dont je parle

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Joli !AuldCom a écrit :Le parcours est déjà dispo dans ma galerie. J'avais bien prévu d'en faire, mais les conditions de lumières étaient un peu pourries, je ne me suis donc pas pris la tête. Mais je vais sans doute faire une toute petite mise à jour avec 3-4 clichés potables que j'ai pu prendre.Benito78 a écrit :Hmmmmm
Pas de photos ?
Rohhhhhhhhhh
Mais pour l'illustration, voilà une photo du trou n°7 dont je parle
Du coup, t'as vu le départ de pros ? ils partent de bcp plus loin ? parce que c'est potentiellement un Green en 1 pour eux.
Driver : Cobra Fly Z 12° (R)
5W : Cobra F6 17.5° (R)
3H : Callaway RAZR X HL (R) ; 5H Callaway x2hot (R)
5-PW : Taylormade SLDR, KBS Tour C Taper 90
Wedge 52° et 56° Cleveland 588 RTX satin chrome, et 60° en noir.
Putter : Taylormade Ghost Tour Fontana 72
5W : Cobra F6 17.5° (R)
3H : Callaway RAZR X HL (R) ; 5H Callaway x2hot (R)
5-PW : Taylormade SLDR, KBS Tour C Taper 90
Wedge 52° et 56° Cleveland 588 RTX satin chrome, et 60° en noir.
Putter : Taylormade Ghost Tour Fontana 72
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magnifique , merci !AuldCom a écrit :Le parcours est déjà dispo dans ma galerie. J'avais bien prévu d'en faire, mais les conditions de lumières étaient un peu pourries, je ne me suis donc pas pris la tête. Mais je vais sans doute faire une toute petite mise à jour avec 3-4 clichés potables que j'ai pu prendre.Benito78 a écrit :Hmmmmm
Pas de photos ?
Rohhhhhhhhhh
Mais pour l'illustration, voilà une photo du trou n°7 dont je parle

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c'est classe là où tu joues!
Cobra King SpeedZone 10.5°
Titleist 913F 19°
Callaway x-hot 2 19°
Callaway XR H4 22°
Cobra King TEC Forged 5-P
Cleveland RTX3 48 et 588 52&56
SC Golo S5
'08>54//'13>45//'14>30.2//'15>25.4//'16>23.4//'17>21.0//'18>20.2//'19>16.6
Titleist 913F 19°
Callaway x-hot 2 19°
Callaway XR H4 22°
Cobra King TEC Forged 5-P
Cleveland RTX3 48 et 588 52&56
SC Golo S5
'08>54//'13>45//'14>30.2//'15>25.4//'16>23.4//'17>21.0//'18>20.2//'19>16.6
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Etrange, j'y suis allé ce matin mais je ne l'ai pas trouvé...AuldCom a écrit : Le parcours est déjà dispo dans ma galerie.

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2019 : 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.8 - 8.9
2014 : 16.4 - 14.6 - 14.8
2015 : 14.8 - 14.9 - 9.6 - 9.8....
2016 : 9.8 - 10.1 - 7.4 - 7.6
2017 : .......................
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Re: Mon espace : AuldCom
Le trou fait 303m des backtees, mais ça inclut le dogleg. Sachant que j'avais un coup pour l'entrée de green mesuré au GPS de 235m (la longueur officielle depuis les jaunes est de 280m), je déduis que c'est un coup de 270m pour le coeur du green. Donc oui les pros l'attaquent systématiquement mais il faut vraiment éviter de se perdre à droite, car la pente peut facilement envoyer la balle HL.TigerBlues a écrit :
Joli !
Du coup, t'as vu le départ de pros ? ils partent de bcp plus loin ? parce que c'est potentiellement un Green en 1 pour eux.
J'y ai passé un bon moment les deux fois où j'ai assisté au tournoi, mais je n'ai pas vu beaucoup de greens attrapés en 1.
Dernière modification par AuldCom le 26 août 2014, 13:40, modifié 1 fois.
Des falaises vertigineuses de Cape Kidnappers en Nouvelle Zélande aux décors idylliques de la côte de Maurice,
des paysages désolés de Wolf Creek aux Etats Unis à la légende de St Andrews en Ecosse, retrouvez
mon itinéraire golfique et photographique à travers vingt-et-un pays et cinq continents
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Re: Mon espace : AuldCom
Elle y est pourtant (2010) : https://plus.google.com/photos/11196418 ... 7893517121Benito78 a écrit :Etrange, j'y suis allé ce matin mais je ne l'ai pas trouvé...AuldCom a écrit : Le parcours est déjà dispo dans ma galerie.
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Re: Mon espace : AuldCom
ah 2010....
coquin...
coquin...
2013 : 23.8 - 16.4
2014 : 16.4 - 14.6 - 14.8
2015 : 14.8 - 14.9 - 9.6 - 9.8....
2016 : 9.8 - 10.1 - 7.4 - 7.6
2017 : .......................
2018 : 7.6 - 7.7 - 7.8 - 7.9 - 8.0 - 8.1 - 8.2 - 8.3 - 8.4 - 8.5 - 8.5 - 8.6
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2014 : 16.4 - 14.6 - 14.8
2015 : 14.8 - 14.9 - 9.6 - 9.8....
2016 : 9.8 - 10.1 - 7.4 - 7.6
2017 : .......................
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Re: Mon espace : AuldCom
Le 7 de Crans, je l'ai vu être attaqué par McIlroy et Westwood ... au bois 3 !
Le reste du plateau de joueurs, plutôt au driver. Et quasi tous tentaient.
Humpf, normal que mes oreilles sifflaient depuis 48h ! On parlait pas mal de moi ici.
Tu vas voir ce que je vais lui faire à ta statistique
Le reste du plateau de joueurs, plutôt au driver. Et quasi tous tentaient.
Humpf, normal que mes oreilles sifflaient depuis 48h ! On parlait pas mal de moi ici.
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Re: Mon espace : AuldCom
On se réjouit déjà d'y retourner cette année pour l'Omega le samedi 

Bientôt 400 golfs différents à mon actif
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Re: Mon espace : AuldCom
Petite visite de Kantziko à Bossey samedi pour notre presque traditionnel MP.
Malgré des mises en jeu égarées « du bon côté » sur les deux premiers trous, je sauve tout de même le par pour maintenir la partie à A/S. Excellent drive (une rareté …) au 3, mais mon approche reste trop timide. Bogey qui maintient l’égalité. Départ du n°4, par-3 de 142 mètres avec légère brise arrière. Je touche le green et Kantziko me lance :
- Fer9 j’imagine ?
- Tout à fait
- Non, sérieusement, fer9 ?
- Bin ouais
On est GT ou pas ?
Je signe un par qui me permet de prendre la main.
Sur le n°5, mise en jeu un peu pourrie de ma part, et lâchée loin à gauche pour Kantziko. Il signe néanmoins le par de brillante manière alors que je prends 3 putts pour bogey, back to A/S.
Il nous faut chacun deux coups pour toucher le green du n°6 (dont une sortie de bunker au putter pour ma part) et deux putts, bogeys.
Le gag du jour (voir de l’année !) au 7. Mon drive sort direct à gauche, la balle frappe un tronc, puis rebondit une ou deux fois sur le chemin bétonné pour terminer sa route derrière un petit arbre, environ 10 mètres derrière le départ ...
Je la déclare injouable, mais n’arrive pas à signer mieux qu’un quadruple qui me met 1 down pour la première fois de la partie.
Nous nous rendons coup pour coup dans la médiocrité sur le 8, un par-5. Drives pourris, seconds coups pourris, troisièmes coups corrects, beaux coups pour toucher le green en 4. Il putt en premier mais appuie beaucoup trop son coup pour aller chercher un plateau haut perché, sa balle sort du green. Deux putts et un bogey me suffisent pour remettre la partie à égalité.
Je touche le green du n°9 en régulation alors que Kantziko doit jouer un petit chip comme 3ème coup avec un stance dans le bunker. Je signe le par, il fait bogey. Je passe donc au turn à 1up, avec une carte de +7 incluant en fâcheux quadruple. C’est solide, même si mes mises en jeu sont globalement mauvaises.
Nous lâchons les deux notre drive à droite pour trouver le fairway du n°18. La partie au départ attend que les joueurs sur le 18 avancent, Kantziko en profite pour jouer son second coup. Le fairway est désormais libéré, donc avant d’en faire de même, je fais de grands signes pour m’assurer que la voie est libre, pas de réponse ni mouvement de leur part, je me déplace donc rapidement vers ma balle quand soudain je les entends m’engueuler parce que je les empêche de jouer … C*nnards ! Bref, je les laisse jouer, puis m’exécute en me précipitant, je suis énervé et plus vraiment concentré. Ca se confirme sur le green, je relève ma balle à distance donnée du trou en pensant par erreur que j’ai de toute manière perdu le trou avec mon bogey. Mais Kantziko est bon prince et me donne le putt, nous partageons donc le trou.
Je touche le green du n°11 en régulation mais il me reste un putt long et affreusement délicat. Kantziko est passé par deux bunkers de fairway et a eu besoin de quatre coups pour rejoindre le green. Je prends trois putts mais ça me suffit pour passer à 2up.
Mon coup au n°12 se perd un peu dans les sous-bois. J’ai une approche délicate, car la balle est collée contre des petites branches et je dois jouer un coup bas pour passer sous les arbres. Exécution correcte, je signe un bogey après un approche-putt, nous partageons le trou.
Mise en jeu au F4 complètement ratée au 13, la balle tape un arbre ou un rocher à droite pour finir dans le rough à gauche du fairway. Je trouve le green de ce par-5 en quatre coups alors que Kantziko est en régulation et signe le par. Mon bogey me ramène à 1up.
Kantziko embarque à gauche toute sur son coup de départ de ce long par-3, tandis que je trouve un bunker de green. On retrouve sa balle contre un rocher au bord du chemin. Je lui propose un dégagement gratuit à cause du chemin, mais il tente tout de même jouer. Sa balle frappe la bordure du chemin et part profondément dans la forêt. Kantziko se paie une « Kevin Na »
(« kevin na 16 » dans google pour comprendre) tandis que je signe un bogey. 2up
Ma mise en jeu du 15 trouve la forêt de gauche, et j’ai besoin de deux coups avec ma provisoire pour atteindre le beau drive de Kantziko. Bonne nouvelle, les petits lutins ont été sympas avec moi, ma balle est sur le fairway. Mauvaise nouvelle, la cheville de mon adversaire est en compote après un faux mouvement. Je signe un par, malgré un premier putt vraiment extrêmement délicat (mon putting va d’ailleurs beaucoup mieux depuis quelques semaines, après avoir commencé à gripper plus court mon putter). 3up & Dormie.
Kantziko n’y est plus vraiment, nous signons les deux un bogey sur ce très long par-3 du 16, je gagne donc notre match 3&2. Je reste donc invaincu dans nos rencontres.
Je perds un balle au 17 puis retrouve avec peine ma seconde complètement pluggée dans un bunker. On la voit à peine, c’est injouable, je laboure le bunker sans grand succès, c’est une croix malheureuse.
Dernière mise en jeu ratée à gauche au n°18 où je manque de peu de toucher un groupe jouant le n°1… Je conclue tout de même la partie avec un bogey, qui me donne une carte finalement tout à fait correcte de +14 sur 17 trous, malgré des mises en jeu vraiment pas au niveau. Mais avec quelques rebonds chanceux avec les arbres, et le fait de souvent lâcher mes coups du bons côté, je ne me suis finalement retrouvé que rarement en danger. J’avais pourtant entraîné de manière satisfaisante les longs coups au cours de la semaine, mais je n’ai pas vraiment réussi à mettre ce travail en pratique…
Mon dos m'a foutu la paix pendant et après le parcours, j'en suis ravi !
Malgré des mises en jeu égarées « du bon côté » sur les deux premiers trous, je sauve tout de même le par pour maintenir la partie à A/S. Excellent drive (une rareté …) au 3, mais mon approche reste trop timide. Bogey qui maintient l’égalité. Départ du n°4, par-3 de 142 mètres avec légère brise arrière. Je touche le green et Kantziko me lance :
- Fer9 j’imagine ?
- Tout à fait
- Non, sérieusement, fer9 ?
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Sur le n°5, mise en jeu un peu pourrie de ma part, et lâchée loin à gauche pour Kantziko. Il signe néanmoins le par de brillante manière alors que je prends 3 putts pour bogey, back to A/S.
Il nous faut chacun deux coups pour toucher le green du n°6 (dont une sortie de bunker au putter pour ma part) et deux putts, bogeys.
Le gag du jour (voir de l’année !) au 7. Mon drive sort direct à gauche, la balle frappe un tronc, puis rebondit une ou deux fois sur le chemin bétonné pour terminer sa route derrière un petit arbre, environ 10 mètres derrière le départ ...

Nous nous rendons coup pour coup dans la médiocrité sur le 8, un par-5. Drives pourris, seconds coups pourris, troisièmes coups corrects, beaux coups pour toucher le green en 4. Il putt en premier mais appuie beaucoup trop son coup pour aller chercher un plateau haut perché, sa balle sort du green. Deux putts et un bogey me suffisent pour remettre la partie à égalité.
Je touche le green du n°9 en régulation alors que Kantziko doit jouer un petit chip comme 3ème coup avec un stance dans le bunker. Je signe le par, il fait bogey. Je passe donc au turn à 1up, avec une carte de +7 incluant en fâcheux quadruple. C’est solide, même si mes mises en jeu sont globalement mauvaises.
Nous lâchons les deux notre drive à droite pour trouver le fairway du n°18. La partie au départ attend que les joueurs sur le 18 avancent, Kantziko en profite pour jouer son second coup. Le fairway est désormais libéré, donc avant d’en faire de même, je fais de grands signes pour m’assurer que la voie est libre, pas de réponse ni mouvement de leur part, je me déplace donc rapidement vers ma balle quand soudain je les entends m’engueuler parce que je les empêche de jouer … C*nnards ! Bref, je les laisse jouer, puis m’exécute en me précipitant, je suis énervé et plus vraiment concentré. Ca se confirme sur le green, je relève ma balle à distance donnée du trou en pensant par erreur que j’ai de toute manière perdu le trou avec mon bogey. Mais Kantziko est bon prince et me donne le putt, nous partageons donc le trou.
Je touche le green du n°11 en régulation mais il me reste un putt long et affreusement délicat. Kantziko est passé par deux bunkers de fairway et a eu besoin de quatre coups pour rejoindre le green. Je prends trois putts mais ça me suffit pour passer à 2up.
Mon coup au n°12 se perd un peu dans les sous-bois. J’ai une approche délicate, car la balle est collée contre des petites branches et je dois jouer un coup bas pour passer sous les arbres. Exécution correcte, je signe un bogey après un approche-putt, nous partageons le trou.
Mise en jeu au F4 complètement ratée au 13, la balle tape un arbre ou un rocher à droite pour finir dans le rough à gauche du fairway. Je trouve le green de ce par-5 en quatre coups alors que Kantziko est en régulation et signe le par. Mon bogey me ramène à 1up.
Kantziko embarque à gauche toute sur son coup de départ de ce long par-3, tandis que je trouve un bunker de green. On retrouve sa balle contre un rocher au bord du chemin. Je lui propose un dégagement gratuit à cause du chemin, mais il tente tout de même jouer. Sa balle frappe la bordure du chemin et part profondément dans la forêt. Kantziko se paie une « Kevin Na »

Ma mise en jeu du 15 trouve la forêt de gauche, et j’ai besoin de deux coups avec ma provisoire pour atteindre le beau drive de Kantziko. Bonne nouvelle, les petits lutins ont été sympas avec moi, ma balle est sur le fairway. Mauvaise nouvelle, la cheville de mon adversaire est en compote après un faux mouvement. Je signe un par, malgré un premier putt vraiment extrêmement délicat (mon putting va d’ailleurs beaucoup mieux depuis quelques semaines, après avoir commencé à gripper plus court mon putter). 3up & Dormie.
Kantziko n’y est plus vraiment, nous signons les deux un bogey sur ce très long par-3 du 16, je gagne donc notre match 3&2. Je reste donc invaincu dans nos rencontres.

Je perds un balle au 17 puis retrouve avec peine ma seconde complètement pluggée dans un bunker. On la voit à peine, c’est injouable, je laboure le bunker sans grand succès, c’est une croix malheureuse.
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Des falaises vertigineuses de Cape Kidnappers en Nouvelle Zélande aux décors idylliques de la côte de Maurice,
des paysages désolés de Wolf Creek aux Etats Unis à la légende de St Andrews en Ecosse, retrouvez
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Re: Mon espace : AuldCom
Neuf trous à Bossey mercredi soir. Ca commence mal, avec un des pros qui traîne sur le fairway avec six élèves. Il m’a vu, mais il s’en tape visiblement, bel exemple pour les gamins qui sont avec lui…
Un commissaire passe par là, je lui en parle et ne semble pas surpris, il est apparemment coutumier du fait.
Finalement, ils relèvent leurs balles pour aller directement au green.
Je m’étais rendu compte que je ne mettais plus beaucoup de rotation dans mon swing, avec par contre beaucoup (trop) de bras. Je me concentre donc à swinguer plus dynamiquement. C’est dingue comme c’est plus efficace (et plus facile dans une certaine mesure) quand on remet les choses à place.
Je joue deux balles au n°1, deux drives énormes. Ca finit par un bogey. Au n°2, ma première mise en jeu est lâchée HL à gauche (personne n’a dit que tout serait réglé en deux swings !
) mais ma seconde est vraiment longue et puissante. A tel point que je retrouve ma balle pour la toute première fois dans le ruisseau barrant ce par-5 en descente, alors qu’elle a pourtant touché le rough. Distance de l’OE depuis le tee : 285 mètres !
Il me reste un petit 160 mètres, toujours en descente, et mon F7 trouve un bout de green. Deux bons coups pour toucher le green en 2, mais j’y suis tout de même en 5… Plus trois putts…
Bogey au n°3 après un drive un peu râpeux et petite socket inhabituelle lors d’une petite approche au n°4 qui entraîne un double.
Dès ce moment là, ce n’est que du très bon golf ! Encore un énorme drive au n°5, alors que c’est le départ du bas qui est utilisé, ce qui laisse donc un trou tout en montée. Ma balle dépasse la fin du fairway pour la toute première fois, pourtant distante de 235 mètres. Mon approche est juste en dehors du green, avec un putt de malade à jouer. Plusieurs possibilités d’offrent à moi, je prends vraiment mon temps pour analyser le coup à jouer. Aligné à presque 90° à droite par rapport au trou, la balle prend une petite pente à droite (là je crains le pire, même si c’était escompté
) avant d’entamer une longue courbe en descente sur la gauche et terminer à 20cm du trou. C’est bien simple, si c’était rentré, ça aurait été haut la main le plus beau putt de ma vie !!! Même sans rentrer, ça reste un vrai excellent coup !
J’enchaîne ensuite avec trois bogeys et un par sans histoire (+10, 16 stab, ce n’est donc pas dégueux), avec des mises en jeu qui, certes, ne trouvent que le rough (mais à proximité immédiate du fairway), mais sont surtout bien plus consistantes que lors de mes dernières sorties. Les petits ajustements ont aussi profité au long jeu en général, dommage d’avoir été par contre trahi par le petit jeu et le putting, mes points forts de ces derniers temps. Ce n’est vraiment pas facile d’avoir tout en place en même temps…
Je vais tâcher de confirmer ça demain à Chamonix avec ma femme.
Petite émotion également mercredi avec la réception des billets pour la Ryder Cup !!!




Je m’étais rendu compte que je ne mettais plus beaucoup de rotation dans mon swing, avec par contre beaucoup (trop) de bras. Je me concentre donc à swinguer plus dynamiquement. C’est dingue comme c’est plus efficace (et plus facile dans une certaine mesure) quand on remet les choses à place.




Dès ce moment là, ce n’est que du très bon golf ! Encore un énorme drive au n°5, alors que c’est le départ du bas qui est utilisé, ce qui laisse donc un trou tout en montée. Ma balle dépasse la fin du fairway pour la toute première fois, pourtant distante de 235 mètres. Mon approche est juste en dehors du green, avec un putt de malade à jouer. Plusieurs possibilités d’offrent à moi, je prends vraiment mon temps pour analyser le coup à jouer. Aligné à presque 90° à droite par rapport au trou, la balle prend une petite pente à droite (là je crains le pire, même si c’était escompté


J’enchaîne ensuite avec trois bogeys et un par sans histoire (+10, 16 stab, ce n’est donc pas dégueux), avec des mises en jeu qui, certes, ne trouvent que le rough (mais à proximité immédiate du fairway), mais sont surtout bien plus consistantes que lors de mes dernières sorties. Les petits ajustements ont aussi profité au long jeu en général, dommage d’avoir été par contre trahi par le petit jeu et le putting, mes points forts de ces derniers temps. Ce n’est vraiment pas facile d’avoir tout en place en même temps…

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Re: Mon espace : AuldCom
Profite bien de Chamonix 
Et passez dire bonjour sur le retour à Evian ^^

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Re: Mon espace : AuldCom
Suis jalouseAuldCom a écrit :
Petite émotion également mercredi avec la réception des billets pour la Ryder Cup !!!![]()
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Re: Mon espace : AuldCom
De retour à Bossey après presque un mois de pause. Avec encore en mémoire les swings fluides des stars du Tour que j’ai pu voir à Gleneagles, j’ai vraiment envie d’essayer de jouer simplement, proprement. J’ai enfilé mon habit de lumière (lisez le polo que l’Europe portait samedi passé) et suis chaud bouillant ! Et ça va se voir !
1. Mon drive est un peu lâché à droite et survole les bunkers à l’intérieur de ce dog leg à droite. Je pense être dans le rough mais je retrouve ma balle au milieu du fairway, au moins 20 mètres plus loin que la meilleure mise en jeu jamais joué sur ce trou ! LA Tiger line par excellence !
Tiger Woods est désormais ami avec Auld Com’
SW topé, deux coups pour retrouver le green, double
2. Drive monstrueux en descente, qui me laisse un coup de 165 mètres en descente pour aller chercher le drapeau en deux. Mon second coup est à nouveau parfaitement claqué, mais la balle touche le fond du green et disparaît dans le talus derrière. J’ai tapé un F7 … D-F7 pour dépasser le green d’un par-5 de 445 mètres…
Bubba Watson est désormais ami avec Auld Com’
Petit chip un peu long, mon putt de 5 mètres pour birdie passe par-dessus le trou, et je manque le retour de moins d’un mètre…
Patrick Reed est désormais ami avec Auld Com’
3. Encore un drive à plus de 250 mètres, encore un trou sur lequel je n’étais jamais allé aussi loin ! SW-2 putts pour par.
Rory McIlroy est désormais ami avec Auld Com’
4. Par-3 avec drapeau à 143 mètres. F9 qui trouve l’entrée du green, deux putts, par.
Justin Rose est désormais ami avec Auld Com’
5. Drive lâché bien à droite dans l’immense talus surplombant le fairway, ce qui n’est pas un problème avec ce rough tondu assez ras. Sauf que je ne retrouverai jamais cette foutue balle... Frustration et croix.
6. Par-3 en légère descente, drapeau à 153 mètres. J’hésite longuement entre F8 et F7. Je prends le second, coup superbement claqué en direction du mât, sauf qu’il dépasse le green, kick dans le pente et disparaît allez savoir où hors-limite dans le forêt… Je remets une balle au F8, 3 mètres à droite à hauteur du trou et un putt pour sauver un bogey improbable. Never Give Up !
Ian Poulter et Graeme McDowell sont désormais amis avec Auld Com’
Jusque là, l’habit fait presque le moine ! Mais cette espèce de feu sacré va subitement disparaître dès le trou n°7. Il y aura bien encore quatre pars à mettre en avant, mais aussi et surtout beaucoup de déchet… 29 pts stab au final, rien de bien glorieux de côté-là, mais au moins la partie partagée avec trois types de mon âge aura été exceptionnellement sympa !
1. Mon drive est un peu lâché à droite et survole les bunkers à l’intérieur de ce dog leg à droite. Je pense être dans le rough mais je retrouve ma balle au milieu du fairway, au moins 20 mètres plus loin que la meilleure mise en jeu jamais joué sur ce trou ! LA Tiger line par excellence !
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2. Drive monstrueux en descente, qui me laisse un coup de 165 mètres en descente pour aller chercher le drapeau en deux. Mon second coup est à nouveau parfaitement claqué, mais la balle touche le fond du green et disparaît dans le talus derrière. J’ai tapé un F7 … D-F7 pour dépasser le green d’un par-5 de 445 mètres…

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Petit chip un peu long, mon putt de 5 mètres pour birdie passe par-dessus le trou, et je manque le retour de moins d’un mètre…

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3. Encore un drive à plus de 250 mètres, encore un trou sur lequel je n’étais jamais allé aussi loin ! SW-2 putts pour par.
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4. Par-3 avec drapeau à 143 mètres. F9 qui trouve l’entrée du green, deux putts, par.
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5. Drive lâché bien à droite dans l’immense talus surplombant le fairway, ce qui n’est pas un problème avec ce rough tondu assez ras. Sauf que je ne retrouverai jamais cette foutue balle... Frustration et croix.

6. Par-3 en légère descente, drapeau à 153 mètres. J’hésite longuement entre F8 et F7. Je prends le second, coup superbement claqué en direction du mât, sauf qu’il dépasse le green, kick dans le pente et disparaît allez savoir où hors-limite dans le forêt… Je remets une balle au F8, 3 mètres à droite à hauteur du trou et un putt pour sauver un bogey improbable. Never Give Up !

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Jusque là, l’habit fait presque le moine ! Mais cette espèce de feu sacré va subitement disparaître dès le trou n°7. Il y aura bien encore quatre pars à mettre en avant, mais aussi et surtout beaucoup de déchet… 29 pts stab au final, rien de bien glorieux de côté-là, mais au moins la partie partagée avec trois types de mon âge aura été exceptionnellement sympa !
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ouah, la chance !
s'est fait bcp d'amis Auldcom'

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H4, H5, H6 Mizuno Fli Hi, 22/25/28°, Orochi
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2013 : 23.8 - 16.4
2014 : 16.4 - 14.6 - 14.8
2015 : 14.8 - 14.9 - 9.6 - 9.8....
2016 : 9.8 - 10.1 - 7.4 - 7.6
2017 : .......................
2018 : 7.6 - 7.7 - 7.8 - 7.9 - 8.0 - 8.1 - 8.2 - 8.3 - 8.4 - 8.5 - 8.5 - 8.6
2019 : 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.8 - 8.9
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2019 : 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.8 - 8.9
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Grosse brute va... Si tu veux avoir des distances du tour, faut aussi avoir les commissaires de parcours qui voient où tombent tes balles !
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Re: Mon espace : AuldCom
Au passage, nous avons pensé à toi sur un bout de l'A40 au retour d'Evian le week-end dernier....
Doit être bien sympa ton golf là dans les collines....
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C'est effectivement un peu ça !Benito78 a écrit :Du T7 au T18,
Auld Com est redevenu ami avec Auld Com’
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Ça tombe bien, il y en a justement eu un qui nous a accompagné sur les trous 15 (FIR), 16 (GIR) et 17 (heureusement qu'il était là, ce n'était pourtant qu'une mise en jeu au F4 mais elle était bien égarée) !vpl a écrit :Grosse brute va... Si tu veux avoir des distances du tour, faut aussi avoir les commissaires de parcours qui voient où tombent tes balles !


Il l'est !Benito78 a écrit :Au passage, nous avons pensé à toi sur un bout de l'A40 au retour d'Evian le week-end dernier....
Doit être bien sympa ton golf là dans les collines....

Des falaises vertigineuses de Cape Kidnappers en Nouvelle Zélande aux décors idylliques de la côte de Maurice,
des paysages désolés de Wolf Creek aux Etats Unis à la légende de St Andrews en Ecosse, retrouvez
mon itinéraire golfique et photographique à travers vingt-et-un pays et cinq continents
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Re: Mon espace : AuldCom
Malgré un jeu globalement aux abonnées absents ces derniers mois, je ne sais quelle pulsion autodestructrice m’a poussée à m’inscrire à une compétition de classement à Bossey. C’est seulement ma deuxième de l’année, on ne peut pas dire que j’aie été spécialement habité par l’esprit de compétition en cette année 2014. Les raisons en sont diverses, je ferai mieux l’année prochaine. Il fait beau, il fait chaud, les conditions sont idéales même si le parcours est déjà passablement gras dans de nombreuses zones qui peinent à être ensoleillées. Résumé d’une partie bizarre, scindée en trois chapitres distincts.
Chapitre 1 : Ca, c’est du golf, du vrai !
Trou 1 – Par-4 : Mon drive un peu chandelle trouve le bunker de fairway, la sortie me permet de bien avancer et me laisser un petit SW pour aller au green. Pris dans le rough gras et humide, je reste court. Approche-putt, BOGEY
Trou 2 – Par-5 : Enorme drive qui me laisse 175m pour aller chercher le drapeau au fond du green de ce par-5. Mon coup de F6 en fade est magnifiquement claqué, mais disparaît derrière le green, où se trouvent OE et bunker. Je retrouve ma balle dans un rough épais, avec l’obligation de prendre mon stance dans le bunker, avec un grip très raccourci. La balle est (trop) bien contactée et file dans le talus à l’opposé… Chip et deux putts, BOGEY
Trou 3 – Par-4 : Drive vraiment moisi qui ne fait qu’une centaine de mètres. Mon F6 trouve le bunker. Sortie très propre et un putt, PAR
Trou 4 – Par-3 : Il affiche 141 mètres aujourd’hui. F9 très propre en fade qui ne revient néanmoins pas assez. Je suis dans le rough à hauteur de drapeau. Up and Down n°3, PAR
Trou 5 – Par-4 : Drive sans histoire qui trouve néanmoins un sale touffe de rough à trente centimètres du fairway. PW bien appuyé qui trouve la bordure du green. Approche-putt n°4, PAR
Trou 6 – Par-3 : Mon coup de F8 est juste trop court du green. Approche et … un putt ! PAR
+2 après six trous, sans aucun GIR mais un petit jeu chaud bouillant, c’est plaisant à souhait ! Je doute avoir déjà réussi 5 approche-putt sur 18 trous, alors vous imaginez bien que sur 6 trous seulement !
Chapitre 2 : Qui a éteint la lumière ?
Trou 7 - Par-4 : Drive dans les bois, recentrage, green manqué, approche, deux putts, DOUBLE BOGEY
Trou 8 – Par-5 : Drive dans les bois, recentrage, F8 pour se mettre sans risque devant l’OE, SW dans l’OE… Approche et deux putts, TRIPLE BOGEY
Trou 9 – Par-4 : Drive à la Bubba qui trouve quand même un bout de fairway, F9 qui trouve le bord du green. Approche et deux putts, BOGEY
+8 au turn, ça reste tout à fait correct
Trou 10 – Par-4 : Drive qui trouve le fairway. Superbe socket avec mon PW ! Mais j’ai de la chance, j’ai une ouverture parfaite. SW trop timide, qui roule en contrebas du green dans un zone bien grasse de chez grasse. Chip de grand-mère qui fait un mètre. Encore un pour trouver le green, mon premier putt fait une virgule, TRIPLE BOGEY
Trou 11 – Par-4 : Mise en jeu au F4 pour ne pas mettre les bunkers en jeu. C’est sûr qu’en faisant une vilaine topette de même pas 100 mètres dans le rough, je ne risquais pas de terminer dans le sable. Après un autre coup médiocre, je manque le green à droite avec mon troisième. Manque de chance, c’est de nouveau un zone très humide. Même blocage psychologique qu’au trou précédent, premier chip qui fait un mètre, puis je trouve le green pour terminer avec deux putts, TRIPLE BOGEY
+12 sur les cinq derniers trous… Comme disent les Inconnus : j’ai beau être matinal, j’ai mal !
Chapitre 3 : La tête haute
Au moment de quitter tête basse le green du 11, une réflexion me vient à l’esprit concernant le langage corporel. Puis-je vraiment réagir si je m’enfonce dans mes idées sombres ? Assurément non. C’est donc avec le buste droit, la tête haute et le pas décidé que je rejoins le départ du trou suivant, idéal pour se remettre en selle. Ou pas.
Trou 12 – Par-3 : Drapeau à 183 mètres, au fond, à l’emplacement le plus délicat. Entre le mât et le tee, il y a environ 175 mètres de « néant golfique » qu’il est fortement conseillé d’éviter. Je m’aligne sur le drapeau en imaginant que mon coup de F4 va immanquablement virer un peu à droite pour trouver idéalement le cœur du green. Coup de fusil, tout droit, plein drapeau, à 3 mètres du trou. Mon putt meurt au dessus du trou, PAR
Trou 13 – Par-5 : « Bubba drive » qui trouve l’entrée du dogleg. Lay up au F8 puis SW qui touche l’entrée du green. Long putt tout en descente, mais je me fait surprendre par la relative lenteur de green, qui n’est plus ensoleillé du tout à cette saison. Il m’en faut deux de plus pour terminer le trou, BOGEY
Trou 14 – Par-4 : Drapeau bien caché derrière le bunker à 174 mètres, avec encore environ 165 mètres de divers problèmes potentiels à éviter. F4 en main, je m’aligne sur le bord gauche du green et mon fade naturel fait le nécessaire pour ramener la balle au cœur du green. Deux putts, PAR
Trou 15 – Par-5 : Drive pleine piste et H3 parfait, je n’ai jamais été aussi loin sur ce trou en deux coups ! SW chirurgical à deux mètres à gauche du trou, je ne manque pas l’occasion d’enfin signer sur ce trou mon tout premier BIRDIE
Trou 16 – Par-3 : 193 mètres pour le mât, que du bonheur ! Oui oui, je joue bien des jaunes ! H3 à la Bubba, planté à 70cm du trou ! Les balles de mes deux partenaires m’ont bien montrées l’insidieuse pente droite-gauche mais je me fait quand même surprendre en passant sous le trou… PAR
Trou 17 – Par-4 : H4 lâché très à droite dans les bois. La balle provisoire n’est guère mieux. Mon partenaire retrouve par chance la première. J’ai une ouverture pour retrouver le fairway mais suis très en contrebas, avec l’impossibilité de trop lever la balle à cause de branches. Pour couronner le tout, la balle est plus haute que mes pieds et le lie est un tapis de glands… Seve, si tu regardes par ici, je veux bien un peu d’aide ! J’opte pour mon H3, que je grippe court et frappe franchement. La balle suit une trajectoire parfaite et va se stopper dans le rough de l’autre côté du fairway. Faire mieux eut été utopique. SW et deux putts, BOGEY
Trou 18 – Par-4 : Beau drive qui trouve le fairway. Lie en descente, et comme (trop) souvent, je me perds gauche, dans le bunker. J’ai un très longue sortie, le sable est dur, j’opte pour un coup de F9 un peu topé. Ca marche bien, mais la balle s’arrête dans le rough derrière le green. Approche et deux putts, DOUBLE BOGEY
+ 3 sur ces sept derniers trous, je n’aurais pas misé un centime là-dessus en sortant du green du 11 !
Pour résumer cette partie pour le moins bizarre :
- +17 en stroke, dont +13 sur mes cinq plus mauvais trous.
- 35 stableford, avec trois trous où je ne score pas de point
- Je signe des pars sur les cinq par-3, et ça croyez moi, avec leur configuration, c’est un réel exploit !
- Premier birdie sur le teigneux 15, SI2 ! Il ne reste que le 8 et le 11 qui m’échappent à Bossey.
- Cinq « Up & Down » sur les six premiers trous, incroyable !
- Du coup, sans réelle surprise, le nombre de putts est bon - 31 - avec un seul trois-putts
Alors oui bien sûr, il y a eu cette période de black-out que je ne m’explique pas vraiment. Mais au final, je pense que le verre est plutôt pleine que vide. Lâcher des trous, ce n’est pas une nouveauté en soi, malheureusement. Pour xy raisons, je ne me suis presque pas entraîné cette saison, ça se paie donc cash. Mais de l’autre côté, j’ai démontré être capable de bien jouer dans un premier temps, et plus important encore, savoir réagir à une série de trous galères ! Le sentiment qui prédomine est donc tout à fait positif !
Chapitre 1 : Ca, c’est du golf, du vrai !
Trou 1 – Par-4 : Mon drive un peu chandelle trouve le bunker de fairway, la sortie me permet de bien avancer et me laisser un petit SW pour aller au green. Pris dans le rough gras et humide, je reste court. Approche-putt, BOGEY
Trou 2 – Par-5 : Enorme drive qui me laisse 175m pour aller chercher le drapeau au fond du green de ce par-5. Mon coup de F6 en fade est magnifiquement claqué, mais disparaît derrière le green, où se trouvent OE et bunker. Je retrouve ma balle dans un rough épais, avec l’obligation de prendre mon stance dans le bunker, avec un grip très raccourci. La balle est (trop) bien contactée et file dans le talus à l’opposé… Chip et deux putts, BOGEY
Trou 3 – Par-4 : Drive vraiment moisi qui ne fait qu’une centaine de mètres. Mon F6 trouve le bunker. Sortie très propre et un putt, PAR
Trou 4 – Par-3 : Il affiche 141 mètres aujourd’hui. F9 très propre en fade qui ne revient néanmoins pas assez. Je suis dans le rough à hauteur de drapeau. Up and Down n°3, PAR
Trou 5 – Par-4 : Drive sans histoire qui trouve néanmoins un sale touffe de rough à trente centimètres du fairway. PW bien appuyé qui trouve la bordure du green. Approche-putt n°4, PAR
Trou 6 – Par-3 : Mon coup de F8 est juste trop court du green. Approche et … un putt ! PAR
+2 après six trous, sans aucun GIR mais un petit jeu chaud bouillant, c’est plaisant à souhait ! Je doute avoir déjà réussi 5 approche-putt sur 18 trous, alors vous imaginez bien que sur 6 trous seulement !
Chapitre 2 : Qui a éteint la lumière ?
Trou 7 - Par-4 : Drive dans les bois, recentrage, green manqué, approche, deux putts, DOUBLE BOGEY
Trou 8 – Par-5 : Drive dans les bois, recentrage, F8 pour se mettre sans risque devant l’OE, SW dans l’OE… Approche et deux putts, TRIPLE BOGEY
Trou 9 – Par-4 : Drive à la Bubba qui trouve quand même un bout de fairway, F9 qui trouve le bord du green. Approche et deux putts, BOGEY
+8 au turn, ça reste tout à fait correct
Trou 10 – Par-4 : Drive qui trouve le fairway. Superbe socket avec mon PW ! Mais j’ai de la chance, j’ai une ouverture parfaite. SW trop timide, qui roule en contrebas du green dans un zone bien grasse de chez grasse. Chip de grand-mère qui fait un mètre. Encore un pour trouver le green, mon premier putt fait une virgule, TRIPLE BOGEY
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Chapitre 3 : La tête haute
Au moment de quitter tête basse le green du 11, une réflexion me vient à l’esprit concernant le langage corporel. Puis-je vraiment réagir si je m’enfonce dans mes idées sombres ? Assurément non. C’est donc avec le buste droit, la tête haute et le pas décidé que je rejoins le départ du trou suivant, idéal pour se remettre en selle. Ou pas.
Trou 12 – Par-3 : Drapeau à 183 mètres, au fond, à l’emplacement le plus délicat. Entre le mât et le tee, il y a environ 175 mètres de « néant golfique » qu’il est fortement conseillé d’éviter. Je m’aligne sur le drapeau en imaginant que mon coup de F4 va immanquablement virer un peu à droite pour trouver idéalement le cœur du green. Coup de fusil, tout droit, plein drapeau, à 3 mètres du trou. Mon putt meurt au dessus du trou, PAR
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Trou 14 – Par-4 : Drapeau bien caché derrière le bunker à 174 mètres, avec encore environ 165 mètres de divers problèmes potentiels à éviter. F4 en main, je m’aligne sur le bord gauche du green et mon fade naturel fait le nécessaire pour ramener la balle au cœur du green. Deux putts, PAR
Trou 15 – Par-5 : Drive pleine piste et H3 parfait, je n’ai jamais été aussi loin sur ce trou en deux coups ! SW chirurgical à deux mètres à gauche du trou, je ne manque pas l’occasion d’enfin signer sur ce trou mon tout premier BIRDIE
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Trou 18 – Par-4 : Beau drive qui trouve le fairway. Lie en descente, et comme (trop) souvent, je me perds gauche, dans le bunker. J’ai un très longue sortie, le sable est dur, j’opte pour un coup de F9 un peu topé. Ca marche bien, mais la balle s’arrête dans le rough derrière le green. Approche et deux putts, DOUBLE BOGEY
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Alors oui bien sûr, il y a eu cette période de black-out que je ne m’explique pas vraiment. Mais au final, je pense que le verre est plutôt pleine que vide. Lâcher des trous, ce n’est pas une nouveauté en soi, malheureusement. Pour xy raisons, je ne me suis presque pas entraîné cette saison, ça se paie donc cash. Mais de l’autre côté, j’ai démontré être capable de bien jouer dans un premier temps, et plus important encore, savoir réagir à une série de trous galères ! Le sentiment qui prédomine est donc tout à fait positif !
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Re: Mon espace : AuldCom
Bien joué !!
J'avoue que le retournement sur la fin est tout à ton mérite, ainsi que la perf sur les par 3, parfois très longs à Bossey.
J'avoue que le retournement sur la fin est tout à ton mérite, ainsi que la perf sur les par 3, parfois très longs à Bossey.

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Re: Mon espace : AuldCom
Merci !
Content de voir que ta cheville te fout suffisamment la paix pour quand même jouer.
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Re: Mon espace : AuldCom
Bravo, j'applaudis le mental qui t'a permis de te remettre dans la partie.
Driver : Cobra Fly Z 12° (R)
5W : Cobra F6 17.5° (R)
3H : Callaway RAZR X HL (R) ; 5H Callaway x2hot (R)
5-PW : Taylormade SLDR, KBS Tour C Taper 90
Wedge 52° et 56° Cleveland 588 RTX satin chrome, et 60° en noir.
Putter : Taylormade Ghost Tour Fontana 72
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Re: Mon espace : AuldCom
18 trous à Bossey samedi. Dès le début, je sens que je ne suis pas dans un bon jour. Ca ne veut pas dire que tout est catastrophique, mais je ne suis vraiment pas en swing. Ca manque de rythme, de fluidité, j’ai l’impression que chaque swing demande un effort. Ca donne énormément de GIR+1 + deux putts pour bogeys, avec deux exceptions notables. D’abord deux affreuses sockets HL sur le par-3 n°4, pour une croix sans gloire. Mais surtout sur le trou n°2, un par-5. A l’instar des dernières parties, j’y claque un énorme drive, qui me laisse 165 mètres pour le drapeau, en descente. Superbe fer6 en fade, qui trouve un bout de green à 5 mètres du mât. Après plusieurs grosses occasions manquées récemment, j’arrive enfin à choper ce green en 2 ! Le putt pour eagle passe juste au dessus du trou et me laisse un (très rare) birdie donné ! Je n’irai pas jusqu’à dire que ces trois coups auront été les meilleurs de ma partie, mais c’est presque ça. Beaucoup de déchets avec mes fers, chose plutôt rare, qui sera tant bien que mal rattrapé avec le pitching/chipping.
Pour l’occasion, j’ai remis mon B3 dans le sac. S’il je l’utilise parfois sur d’autres parcours, je ne l’utilise jamais ou presque à Bossey. Et comme je porte mon sac, autant se débarrasser d’un poids inutile. Mais je voulais revoir un peu la stratégie sur certains trous, et ça c’est avéré assez payant sur les quatre mises en jeu où je l’ai utilisé, en touchant deux fairways et deux roughs sans problème. A revoir donc.
En rendant une carte de 31 stab comptant un nombre famélique de coups corrects, je me dis que ce n’était finalement pas si mal que ça !
J’ai bon espoir de pouvoir jouer 36 trous le weekend prochain, un événement désormais rarissime !
Pour l’occasion, j’ai remis mon B3 dans le sac. S’il je l’utilise parfois sur d’autres parcours, je ne l’utilise jamais ou presque à Bossey. Et comme je porte mon sac, autant se débarrasser d’un poids inutile. Mais je voulais revoir un peu la stratégie sur certains trous, et ça c’est avéré assez payant sur les quatre mises en jeu où je l’ai utilisé, en touchant deux fairways et deux roughs sans problème. A revoir donc.
En rendant une carte de 31 stab comptant un nombre famélique de coups corrects, je me dis que ce n’était finalement pas si mal que ça !
J’ai bon espoir de pouvoir jouer 36 trous le weekend prochain, un événement désormais rarissime !
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Re: Mon espace : AuldCom
Et ton dos ça va ?
que prends tu à la place de ton bois 3 ?
bn golf et bonne soirée !

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bois 5 et 7 EQ1-NX
(ou bois 5 et 7 929)et 9 TW 929 S2S white
H 5 EQI-NX sur Steelfiber i80 (Aerotech)
F6 à SW EQ1-NX sur Stellfiber i 80
LW 60° Sterling sur Steelfiber
Putter PXG Gunboat
-Chaque fois que je fais un birdie, je dois faire 2 triple bogey pour rétablir l'équilibre fondamental de l'univers.
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Re: Mon espace : AuldCom
Mon dos n'est pas complètement guéri mais c'est sous contrôle, merci.
Il y a encore quelques douleurs après l'effort, mais quelques étirements spécifiques suffisent à régler la chose.
Mises en jeu au driver ou F4, parfois H3.
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Re: Mon espace : AuldCom
Ok, merci ! parfois le B3 est plus compliqué qu'un driver sur teeAuldCom a écrit :Mon dos n'est pas complètement guéri mais c'est sous contrôle, merci.
Il y a encore quelques douleurs après l'effort, mais quelques étirements spécifiques suffisent à régler la chose.
Mises en jeu au driver ou F4, parfois H3.
prends soin de toi !

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H 5 EQI-NX sur Steelfiber i80 (Aerotech)
F6 à SW EQ1-NX sur Stellfiber i 80
LW 60° Sterling sur Steelfiber
Putter PXG Gunboat
-Chaque fois que je fais un birdie, je dois faire 2 triple bogey pour rétablir l'équilibre fondamental de l'univers.
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Re: Mon espace : AuldCom
La définition d’un bon weekend ? Il y a plusieurs réponses possibles, bien sûr, mais disons que 2x18 trous en est une tout à fait valable ! Surtout que c’est devenu une denrée très rare ! Et si on rajoute en bonus un soleil radieux permettant de jouer en polo en novembre, on est proche de l’extase.
Dommage que les fairways de Bossey aient été carottés et sablés durant la semaine, la perfection aurait presque été atteinte. Car force est de constater que c’est un point qui va méchamment troubler mon jeu (et celui de mes partenaires). Malgré la possibilité de placer sa balle, je me suis battu deux jours durant pour essayer d’obtenir des contacts cleans. En vain la plupart du temps.
A l’instar de mes dernières sorties, ma partie de samedi connaît des (assez) hauts et des (très) bas. Du côté de la lumière, je note surtout un excellent 10/13 FIR. Sachant que l’éparpillement total des trois fairways manqués ne doit pas dépasser trois mètres, on peut dire que j’ai était bien chaud sur les départs. Je commence enfin à me sentir à l’aise avec B3/H3 et ça se voit, me donnant plus d’options de mises en jeu. Mais encore faut-il faire fructifier ces bons coups, car avec seulement 2 GIR suite aux 10 FIR, on est proche du navrant. Oui bien sûr, les fairways pourris, mais quand même, ça n’explique pas tout. Je sors donc une carte de +24 avec sept pars. +24 sur 11 trous, ça pique ! Surtout que j’ai joué correctement sur les greens avec 33 putts et un seul 3 putts. Mais peu importe, c’était une partie sympa jouée sous un chaud soleil d’automne.
Même heure, même endroit et même météo le lendemain. Mes mises en jeu sont moins précises (5 FIR), mon putting est à la ramasse (3x3 putts) mais mon jeu de fers est moins navrant que la veille. Rien de transcendant, mais suffisant la majeure partie du temps pour signer des bogeys. Un éclair au #16, un costaud par3 affichant 185 mètres, dix de moins que la distance standard, le départ étant avancé. Superbe H3 qui trouve le haut du plateau du fond. Il me reste quelques huit mètres en descente pour revenir vers le trou. Je pousse ce qu’il faut la balle pour qu’elle prenne doucement la pente (les greens sont encore incroyablement rapides pour la saison !), et finisse sa lente chevauchée au fond du trou ! +22 au final, pas de quoi pavoiser, mais pas non plus de quoi sombrer dans une quelconque sinistrose. Les conditions de jeu étaient ce qu’elles étaient, la partie était sympa et il faisait grand beau, difficile de trouver à se plaindre je pense.
Avec les tonnes de pluie qui sont annoncées ces deux prochains jours, je crains que le parcours à Bossey passe désormais en mode « gadoue totale ». A moins que le sable pompe suffisamment, je doute donc que j’y rejoue cette année. Mais il n’est donc pas impossible que j’aille à Gonville, un parcours assez rustique où j’ai beaucoup joué avant de me sédentariser. Ce parcours plat et court supporte très bien les mauvaises conditions météorologiques, ça serait donc une excellente occasion de travailler mon jeu de fers quelque peut défaillant ces derniers temps.
Dommage que les fairways de Bossey aient été carottés et sablés durant la semaine, la perfection aurait presque été atteinte. Car force est de constater que c’est un point qui va méchamment troubler mon jeu (et celui de mes partenaires). Malgré la possibilité de placer sa balle, je me suis battu deux jours durant pour essayer d’obtenir des contacts cleans. En vain la plupart du temps.
A l’instar de mes dernières sorties, ma partie de samedi connaît des (assez) hauts et des (très) bas. Du côté de la lumière, je note surtout un excellent 10/13 FIR. Sachant que l’éparpillement total des trois fairways manqués ne doit pas dépasser trois mètres, on peut dire que j’ai était bien chaud sur les départs. Je commence enfin à me sentir à l’aise avec B3/H3 et ça se voit, me donnant plus d’options de mises en jeu. Mais encore faut-il faire fructifier ces bons coups, car avec seulement 2 GIR suite aux 10 FIR, on est proche du navrant. Oui bien sûr, les fairways pourris, mais quand même, ça n’explique pas tout. Je sors donc une carte de +24 avec sept pars. +24 sur 11 trous, ça pique ! Surtout que j’ai joué correctement sur les greens avec 33 putts et un seul 3 putts. Mais peu importe, c’était une partie sympa jouée sous un chaud soleil d’automne.
Même heure, même endroit et même météo le lendemain. Mes mises en jeu sont moins précises (5 FIR), mon putting est à la ramasse (3x3 putts) mais mon jeu de fers est moins navrant que la veille. Rien de transcendant, mais suffisant la majeure partie du temps pour signer des bogeys. Un éclair au #16, un costaud par3 affichant 185 mètres, dix de moins que la distance standard, le départ étant avancé. Superbe H3 qui trouve le haut du plateau du fond. Il me reste quelques huit mètres en descente pour revenir vers le trou. Je pousse ce qu’il faut la balle pour qu’elle prenne doucement la pente (les greens sont encore incroyablement rapides pour la saison !), et finisse sa lente chevauchée au fond du trou ! +22 au final, pas de quoi pavoiser, mais pas non plus de quoi sombrer dans une quelconque sinistrose. Les conditions de jeu étaient ce qu’elles étaient, la partie était sympa et il faisait grand beau, difficile de trouver à se plaindre je pense.
Avec les tonnes de pluie qui sont annoncées ces deux prochains jours, je crains que le parcours à Bossey passe désormais en mode « gadoue totale ». A moins que le sable pompe suffisamment, je doute donc que j’y rejoue cette année. Mais il n’est donc pas impossible que j’aille à Gonville, un parcours assez rustique où j’ai beaucoup joué avant de me sédentariser. Ce parcours plat et court supporte très bien les mauvaises conditions météorologiques, ça serait donc une excellente occasion de travailler mon jeu de fers quelque peut défaillant ces derniers temps.
Des falaises vertigineuses de Cape Kidnappers en Nouvelle Zélande aux décors idylliques de la côte de Maurice,
des paysages désolés de Wolf Creek aux Etats Unis à la légende de St Andrews en Ecosse, retrouvez
mon itinéraire golfique et photographique à travers vingt-et-un pays et cinq continents
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Re: Mon espace : AuldCom
Si tu es amateur de golf lisse et sans saveur, cet article n’est pas pour toi. Par contre, si tu aimes les coups improbables, les montagnes russes et les saccages golfiques, tu vas trouver ton bonheur !
Je ne me suis décidé que vendredi pour jouer samedi à Bossey. Les trombes d’eau prévues durant la semaine n’ayant été que de modestes averses, je me suis donc dit que le parcours devrait avoir tenu le coup. Ce qui s’est avéré être le cas, avec un plus des fairways bien plus jouables que le weekend précédant. 4°C sur le départ, mais je suis habillé en conséquence, donc aucun soucis de ce côté-là.
Trou 1 – Par-4 : Drive pleine piste suivit d’un F8 qui s’égare dans le talus surplombant la droite du green. Durant la bonne saison, ce n’est pas un mauvais coup car la pente ramène la balle au minimum sur l’avant-green. Mais nous sommes en novembre, du coup je retrouve ma balle perchée dans les herbes humides. Stance d’équilibriste, le contact est bon, mais mon coup se bloque littéralement dans une minuscule mare de boue autour d’une bouche d’arrosage. Malchance ? Oui clairement. Chip trop fort qui touche le mât, puis deux putts, DOUBLE BOGEY
Trou 2 – Par-5 : Drive dans le rough, suivit de F8-SW pour se retrouver à quelques mètres du drapeau, mais juste court du green. Mon approche au putter me laisse un putt donné. PAR
Trou 3 – Par-4 : Drive qui partage le fairway en deux, suivit d’un solide 50° à cinq mètres du mât. Beaucoup de pente gauche droite, mon premier putt meurt juste sous le trou. PAR
Trou 4 – Par-3 : Il affiche 147 mètres aujourd’hui. F8 très propre en fade à un mètre de l’objectif. Je ne manque pas l’opportunité de signer un BIRDIE.
Trou 5 – Par-4 : Drive qui s’égare en bas du talus bordant la gauche du fairway. Mon second coup n’est pas très long, mais j’ai un sacré dénivelé jusqu’au green. Très bon coup de 50° qui me laisse encore le même coup que sur le trou 2. Mon premier putt meurt également juste sous le trou, donné. PAR
Trou 6 – Par-3 : F9 un peu timide, qui va se cacher derrière un bunker. Un amour d’approche lobée par-dessus le sable me laisse donné. PAR
+1 après 6 trous, et surtout -1 sur les cinq derniers trous. Mais c’est le moment d’attacher votre ceinture !
Trou 7 - Par-4 : B3 embarqué un peu à gauche qui semble quand même vouloir survoler tous les arbres, sauf la plus haute des branches… N’ayant pas vu tomber la balle, il y a là un méchant préavis de HL… Balle provisoire complètement ratée, il me faut encore deux coups pour trouver un bout de fairway… Sans réelle surprise, ma première mise en jeu a disparu, il me faut encore deux coups pour trouver le green, suivi de deux putts. QUINTUPLE BOGEY
Trou 8 – Par-5 : B3 dans le rough, F6 pour avancer, il me reste F9 pour aller chercher un drapeau bien caché derrière l’OE. Comme je suis toujours en quête d’un tout premier birdie sur ce trou, je me dois de jouer agressif. Contact moyen, ma balle ne fait pas la distance et se noie. Approche et deux putts. DOUBLE BOGEY
Trou 9 – Par-4 : Drive correct au milieu du fairway, F9 à quatre mètres du drapeau, mais deux putts. PAR
+8 au turn, sans le moindre bogey.
Trou 10 – Par-4 : Drive en chandelle, pas très long, mais qui trouve quand même un bout de fairway. F7 moyen qui s’arrête juste avant le bunker qui barre l’accès au green. Approche presque parfaite, qui meurt à dix centimètres du bonheur. PAR
Trou 11 – Par-4 : Mise en jeu au H4 pleine piste suivi d’un excellent F8 qui trouve le fond du green, à quatre mètres du mât. Vraie et rare opportunité de signer un premier birdie sur ce trou, mais mon coup en descente est mal ajusté. Le putt est donné. PAR
+8 après 11 trous, avec sept pars et un birdie. C’est vraiment du tout ou rien ! C’est malheureusement à ce moment que ça commence à sévèrement bouchonner devant moi. Malgré les accrocs, j’étais jusqu’alors vraiment dans ma bulle (je jouais seul), serein et détendu, avec un résultat concret sur mon jeu. Mais dès cet instant, le charme va se briser et la suite ne sera qu’un long combat.
Trou 12 – Par-3 : F4 pas très bien contacté qui reste court du green. Petit pitch trop bien touché qui file sur le plateau inférieur. Ca me laisse un sale putt de retour, qui se transforme en trois putts. DOUBLE BOGEY
Trou 13 – Par-5 : Mise en jeu parfaite au H4 pour trouver l’entrée du premier dog leg, suivi d’un F7 qui me place presque idéalement à l’entrée du second dogleg. SW gratté qui trouve un bunker. Sortie un peu longue, deux putts pour revenir. BOGEY
Trou 14 – Par-4 : Drapeau bien caché derrière le bunker à 177 mètres, avec encore environ 165 mètres de divers problèmes potentiels à éviter. F4 en main, je m’aligne sur le bord gauche du green et mon fade naturel fait le nécessaire pour ramener la balle au cœur du green. Très mauvaise lecture pour mon premier putt, tant et si bien qu’il me reste quatre mètres en descente avec un sévère droite-gauche. Je prends mon temps (ça tombe bien, j’en ai à profusion puisque les deux joueurs devant moi ne semblent pas enclin à m’accueillir dans leur partie) et boîte ce putt délicat. PAR
Trou 15 – Par-5 : Drive pleine piste, un des plus longs jamais joué sur ce trou, malgré le manque flagrant de roule. S’en suit gratte, gratte et coup foireux qui se perd dans les arbres. Deux coups de plus avec une nouvelle balle puis deux putts pour entériner le saccage de ma carte. QUADRUPLE BOGEY
Trou 16 – Par-3 : F4 qui reste juste court du green. Approche moyenne et deux putts. BOGEY
Trou 17 – Par-4 : Mise en jeu au H4 que je pense lâchée dans les arbres à droite. Les petits lutins de la forêt ont été sympas, je retrouve ma balle dans le rough, avec l’ouverture sur le green et un bon lie. F7 en main, je tape une affreuse socket qui heureusement tape un arbre et ne va pas s’enfoncer dieu sait où dans les bois. Recentrage et très bon coup de F8 à cinq mètres du drapeau. Trois putts. TRIPLE BOGEY
Trou 18 – Par-4 : Beau drive qui trouve le fairway. Mon coup de F8 est juste court du green. Chip en descente mais vraiment trop timide, tant et si bien qu’il me faut encore deux putts pour conclure. BOGEY.
Dans la catégorie « carte contrastée », celle du jour est quand même pas mal. +20 au total, mais +12 sur mes trois plus mauvais trous… J’ai bien sûr des regrets d’avoir vendangés ces trous, mais au final, j’ai quand même la satisfaction assez rare d’avoir pu m’appuyer sur un jeu globalement assez solide, sans être trahi spécifiquement par l’un ou l’autre des secteurs de jeu. J’ai fait peu d’erreurs, mais je les ai payé cash.
La météo s’annonce très humide et le parcours va fermer dans deux semaines. Il est dès lors probable que je sois en pause golfique. Pas pour trop longtemps, je vous rassure (si si, je vous sentais inquiet là !
) car nous partons début décembre pour deux semaines du côté de l’Ile Maurice ! 

Je ne me suis décidé que vendredi pour jouer samedi à Bossey. Les trombes d’eau prévues durant la semaine n’ayant été que de modestes averses, je me suis donc dit que le parcours devrait avoir tenu le coup. Ce qui s’est avéré être le cas, avec un plus des fairways bien plus jouables que le weekend précédant. 4°C sur le départ, mais je suis habillé en conséquence, donc aucun soucis de ce côté-là.
Trou 1 – Par-4 : Drive pleine piste suivit d’un F8 qui s’égare dans le talus surplombant la droite du green. Durant la bonne saison, ce n’est pas un mauvais coup car la pente ramène la balle au minimum sur l’avant-green. Mais nous sommes en novembre, du coup je retrouve ma balle perchée dans les herbes humides. Stance d’équilibriste, le contact est bon, mais mon coup se bloque littéralement dans une minuscule mare de boue autour d’une bouche d’arrosage. Malchance ? Oui clairement. Chip trop fort qui touche le mât, puis deux putts, DOUBLE BOGEY
Trou 2 – Par-5 : Drive dans le rough, suivit de F8-SW pour se retrouver à quelques mètres du drapeau, mais juste court du green. Mon approche au putter me laisse un putt donné. PAR
Trou 3 – Par-4 : Drive qui partage le fairway en deux, suivit d’un solide 50° à cinq mètres du mât. Beaucoup de pente gauche droite, mon premier putt meurt juste sous le trou. PAR
Trou 4 – Par-3 : Il affiche 147 mètres aujourd’hui. F8 très propre en fade à un mètre de l’objectif. Je ne manque pas l’opportunité de signer un BIRDIE.
Trou 5 – Par-4 : Drive qui s’égare en bas du talus bordant la gauche du fairway. Mon second coup n’est pas très long, mais j’ai un sacré dénivelé jusqu’au green. Très bon coup de 50° qui me laisse encore le même coup que sur le trou 2. Mon premier putt meurt également juste sous le trou, donné. PAR
Trou 6 – Par-3 : F9 un peu timide, qui va se cacher derrière un bunker. Un amour d’approche lobée par-dessus le sable me laisse donné. PAR
+1 après 6 trous, et surtout -1 sur les cinq derniers trous. Mais c’est le moment d’attacher votre ceinture !
Trou 7 - Par-4 : B3 embarqué un peu à gauche qui semble quand même vouloir survoler tous les arbres, sauf la plus haute des branches… N’ayant pas vu tomber la balle, il y a là un méchant préavis de HL… Balle provisoire complètement ratée, il me faut encore deux coups pour trouver un bout de fairway… Sans réelle surprise, ma première mise en jeu a disparu, il me faut encore deux coups pour trouver le green, suivi de deux putts. QUINTUPLE BOGEY


Trou 8 – Par-5 : B3 dans le rough, F6 pour avancer, il me reste F9 pour aller chercher un drapeau bien caché derrière l’OE. Comme je suis toujours en quête d’un tout premier birdie sur ce trou, je me dois de jouer agressif. Contact moyen, ma balle ne fait pas la distance et se noie. Approche et deux putts. DOUBLE BOGEY
Trou 9 – Par-4 : Drive correct au milieu du fairway, F9 à quatre mètres du drapeau, mais deux putts. PAR
+8 au turn, sans le moindre bogey.
Trou 10 – Par-4 : Drive en chandelle, pas très long, mais qui trouve quand même un bout de fairway. F7 moyen qui s’arrête juste avant le bunker qui barre l’accès au green. Approche presque parfaite, qui meurt à dix centimètres du bonheur. PAR
Trou 11 – Par-4 : Mise en jeu au H4 pleine piste suivi d’un excellent F8 qui trouve le fond du green, à quatre mètres du mât. Vraie et rare opportunité de signer un premier birdie sur ce trou, mais mon coup en descente est mal ajusté. Le putt est donné. PAR
+8 après 11 trous, avec sept pars et un birdie. C’est vraiment du tout ou rien ! C’est malheureusement à ce moment que ça commence à sévèrement bouchonner devant moi. Malgré les accrocs, j’étais jusqu’alors vraiment dans ma bulle (je jouais seul), serein et détendu, avec un résultat concret sur mon jeu. Mais dès cet instant, le charme va se briser et la suite ne sera qu’un long combat.
Trou 12 – Par-3 : F4 pas très bien contacté qui reste court du green. Petit pitch trop bien touché qui file sur le plateau inférieur. Ca me laisse un sale putt de retour, qui se transforme en trois putts. DOUBLE BOGEY
Trou 13 – Par-5 : Mise en jeu parfaite au H4 pour trouver l’entrée du premier dog leg, suivi d’un F7 qui me place presque idéalement à l’entrée du second dogleg. SW gratté qui trouve un bunker. Sortie un peu longue, deux putts pour revenir. BOGEY
Trou 14 – Par-4 : Drapeau bien caché derrière le bunker à 177 mètres, avec encore environ 165 mètres de divers problèmes potentiels à éviter. F4 en main, je m’aligne sur le bord gauche du green et mon fade naturel fait le nécessaire pour ramener la balle au cœur du green. Très mauvaise lecture pour mon premier putt, tant et si bien qu’il me reste quatre mètres en descente avec un sévère droite-gauche. Je prends mon temps (ça tombe bien, j’en ai à profusion puisque les deux joueurs devant moi ne semblent pas enclin à m’accueillir dans leur partie) et boîte ce putt délicat. PAR
Trou 15 – Par-5 : Drive pleine piste, un des plus longs jamais joué sur ce trou, malgré le manque flagrant de roule. S’en suit gratte, gratte et coup foireux qui se perd dans les arbres. Deux coups de plus avec une nouvelle balle puis deux putts pour entériner le saccage de ma carte. QUADRUPLE BOGEY
Trou 16 – Par-3 : F4 qui reste juste court du green. Approche moyenne et deux putts. BOGEY
Trou 17 – Par-4 : Mise en jeu au H4 que je pense lâchée dans les arbres à droite. Les petits lutins de la forêt ont été sympas, je retrouve ma balle dans le rough, avec l’ouverture sur le green et un bon lie. F7 en main, je tape une affreuse socket qui heureusement tape un arbre et ne va pas s’enfoncer dieu sait où dans les bois. Recentrage et très bon coup de F8 à cinq mètres du drapeau. Trois putts. TRIPLE BOGEY
Trou 18 – Par-4 : Beau drive qui trouve le fairway. Mon coup de F8 est juste court du green. Chip en descente mais vraiment trop timide, tant et si bien qu’il me faut encore deux putts pour conclure. BOGEY.
Dans la catégorie « carte contrastée », celle du jour est quand même pas mal. +20 au total, mais +12 sur mes trois plus mauvais trous… J’ai bien sûr des regrets d’avoir vendangés ces trous, mais au final, j’ai quand même la satisfaction assez rare d’avoir pu m’appuyer sur un jeu globalement assez solide, sans être trahi spécifiquement par l’un ou l’autre des secteurs de jeu. J’ai fait peu d’erreurs, mais je les ai payé cash.
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Re: Mon espace : AuldCom
Que d'émotions 
Ah pis j'en ai une pour toi et ton voyage à l'île Maurice : la jalousie
Profitez en bien tous les 2 (3?) !

Ah pis j'en ai une pour toi et ton voyage à l'île Maurice : la jalousie

Profitez en bien tous les 2 (3?) !
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Re: Mon espace : AuldCom
Petit bonus dimanche avec une dernière partie à Bossey avant que le parcours passe en greens d’hiver. Je pars seul sur un terrain vraiment très gras et baigné de brouillard. Sur l’aller, dans la partie basse du domaine, la visibilité est acceptable, je devine le drapeau, c’est jouable. Mon jeu de fer n’est pas en place, j’ai vraiment de la peine à contacter proprement la balle avec ce sol boueux. +8 sur l’aller, ça me va au regard des conditions.
Car dès lors, ça va devenir beaucoup plus rock n’roll, avec un brouillard bien plus dense. On est plus dans un golf de sensation et d’estimation qu’autre chose. Mais c’est assez gratifiant d’arriver à estimer avec justesse la destination d’une balle – ce qui va m’arriver plusieurs fois - en se référant uniquement au ressenti du coup. Aucune balle perdue durant cette partie de « blind golf », c’est un petit exploit, même si mon jeu est à l’image de ce qui a été produit sur l’aller. +21 au final, c’est assez accessoire. Un birdie (ficelle de 13 mètres !), un maigre par, pas mal de doubles mais aucune triple ou pire.
Mais le fait marquant de ma partie n’est finalement ailleurs. Alors que je remets le drapeau du n°13 dans son trou, je sens une présence derrière moi. Je me retourne et vois trois magnifique faisans accompagné d’un petit. Les couleurs d’automne, le brouillard, leurs petits gloussements, cet instant est assez irréel. Je prends quelques photos, ils ne sont absolument pas farouches et se laissent approcher à moins de 50 centimètres. Mais le plus marrant, c’est qu’ils vont m’accompagner jusqu’au départ du n°14 ! Puis, après m’avoir attendu à l’écart du tee, vont encore me suivre un moment sur le n°14 avant de stopper leur promenade. Une jolie rencontre !
La vidéo de mes groupies : http://youtu.be/2D66N6PvPDQ

Car dès lors, ça va devenir beaucoup plus rock n’roll, avec un brouillard bien plus dense. On est plus dans un golf de sensation et d’estimation qu’autre chose. Mais c’est assez gratifiant d’arriver à estimer avec justesse la destination d’une balle – ce qui va m’arriver plusieurs fois - en se référant uniquement au ressenti du coup. Aucune balle perdue durant cette partie de « blind golf », c’est un petit exploit, même si mon jeu est à l’image de ce qui a été produit sur l’aller. +21 au final, c’est assez accessoire. Un birdie (ficelle de 13 mètres !), un maigre par, pas mal de doubles mais aucune triple ou pire.
Mais le fait marquant de ma partie n’est finalement ailleurs. Alors que je remets le drapeau du n°13 dans son trou, je sens une présence derrière moi. Je me retourne et vois trois magnifique faisans accompagné d’un petit. Les couleurs d’automne, le brouillard, leurs petits gloussements, cet instant est assez irréel. Je prends quelques photos, ils ne sont absolument pas farouches et se laissent approcher à moins de 50 centimètres. Mais le plus marrant, c’est qu’ils vont m’accompagner jusqu’au départ du n°14 ! Puis, après m’avoir attendu à l’écart du tee, vont encore me suivre un moment sur le n°14 avant de stopper leur promenade. Une jolie rencontre !
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Re: Mon espace : AuldCom
Miam Miam Miam
Magnifique !

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B1 Titleist 913 D2
B3 Srixon
H3 Srixon
Mizuno JPX 850 forged
Mizuno S5 52-58
Odyssey 2ball protype black
" Le secret du golf, c'est de taper la balle fort, droit, et pas trop souvent. "
Re: Mon espace : AuldCom
Pas très farouches les volatiles ... en plus on dirait qu'ils attendaient des miettes de pain. 

Je ne travaille jamais. Je ne me repose pas non plus. C'est juste la vie qui passe.
La difficulté est grande de rendre savant celui qui ne fait rien ; parce que son ignorance lui fait croire qu'il en fait plus que celui qui entreprend de l'instruire.
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Re: Mon espace : AuldCom
Cà glousse..on dirait bien que tu leur as plu ?
Tu avais des croquettes dans ton sac ?

Tu avais des croquettes dans ton sac ?



2013 : 23.8 - 16.4
2014 : 16.4 - 14.6 - 14.8
2015 : 14.8 - 14.9 - 9.6 - 9.8....
2016 : 9.8 - 10.1 - 7.4 - 7.6
2017 : .......................
2018 : 7.6 - 7.7 - 7.8 - 7.9 - 8.0 - 8.1 - 8.2 - 8.3 - 8.4 - 8.5 - 8.5 - 8.6
2019 : 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.8 - 8.9
2014 : 16.4 - 14.6 - 14.8
2015 : 14.8 - 14.9 - 9.6 - 9.8....
2016 : 9.8 - 10.1 - 7.4 - 7.6
2017 : .......................
2018 : 7.6 - 7.7 - 7.8 - 7.9 - 8.0 - 8.1 - 8.2 - 8.3 - 8.4 - 8.5 - 8.5 - 8.6
2019 : 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.8 - 8.9
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Re: Mon espace : AuldCom
Je me demandais plutôt si ils n'étaient pas un peu agacés que tu les suives. A moins qu'ils ne soient dressés pour rappeler que le jeu lent est une plaie ?
Sinon, jolie photo sur le green. J'ai l'impression que la brume 'réduit' la profondeur de champ, du coup tes volatiles ressortent super bien.
Sinon, jolie photo sur le green. J'ai l'impression que la brume 'réduit' la profondeur de champ, du coup tes volatiles ressortent super bien.
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Re: Mon espace : AuldCom
Ils ont élu domicile sur le parcours il y a un an environ, mais c'est la première fois que je les voyais. Ils semblent donc être habitués à notre présence. J'ai fait mine de leur proposer à manger mais ça ne les intéressait pas.Lovecat a écrit :Pas très farouches les volatiles ... en plus on dirait qu'ils attendaient des miettes de pain.
Je plaide non-coupable, c'est bien eux qui m'ont accompagnés !Gallabru a écrit :Je me demandais plutôt si ils n'étaient pas un peu agacés que tu les suives. A moins qu'ils ne soient dressés pour rappeler que le jeu lent est une plaie ?
Sinon, jolie photo sur le green. J'ai l'impression que la brume 'réduit' la profondeur de champ, du coup tes volatiles ressortent super bien.

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Re: Mon espace : AuldCom
Sympa en tout cas : faisans dorés, c'est rare de les voir sauvages, du moins vraiment
Je n'ai pu approcher d'animaux sauvages au golf que 4 fois : dernièrement un chevreuil sur mon parcours, mais c'était loin, puis l'an dernier à Rochefort une "chevrette" et ses faons, très près assez peu peureux, ça a duré un petit moment (je cherchais une balle dans les bois, proche du mur)
A Fontenay /mer (golf de la presqu'ile du Cotentin maintenant) le soir ou le matin des Tadorne de Belon, qui nichaient entre le 6 et le 7...ils étaient peureux mais on arrivait à les approcher à 20 m en faisant attention...des oies sauvages à Granville
merci pour tes photos toujours aussi belles !!

Je n'ai pu approcher d'animaux sauvages au golf que 4 fois : dernièrement un chevreuil sur mon parcours, mais c'était loin, puis l'an dernier à Rochefort une "chevrette" et ses faons, très près assez peu peureux, ça a duré un petit moment (je cherchais une balle dans les bois, proche du mur)
A Fontenay /mer (golf de la presqu'ile du Cotentin maintenant) le soir ou le matin des Tadorne de Belon, qui nichaient entre le 6 et le 7...ils étaient peureux mais on arrivait à les approcher à 20 m en faisant attention...des oies sauvages à Granville
merci pour tes photos toujours aussi belles !!


Dernière modification par eglishadow le 26 nov. 2014, 18:19, modifié 1 fois.
Driver TW 919 THI ou FD sur S2S white
bois 5 et 7 EQ1-NX
(ou bois 5 et 7 929)et 9 TW 929 S2S white
H 5 EQI-NX sur Steelfiber i80 (Aerotech)
F6 à SW EQ1-NX sur Stellfiber i 80
LW 60° Sterling sur Steelfiber
Putter PXG Gunboat
-Chaque fois que je fais un birdie, je dois faire 2 triple bogey pour rétablir l'équilibre fondamental de l'univers.
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Re: Mon espace : AuldCom
Très joli photo !
C'est le genre de rencontre pour lesquelles j'aime beaucoup attaqué un parcours tôt le matin.
On croise facilement des écureils, lapins, biches... mais j'ai jamais eu droit à une escorte comme celle-là.
Des isards à 10m, mais ce n'était pas sur un terrain de golf
(dans les cheminées du Pic du midi d'Ossau pour ceux qui connaissent)
C'est le genre de rencontre pour lesquelles j'aime beaucoup attaqué un parcours tôt le matin.
On croise facilement des écureils, lapins, biches... mais j'ai jamais eu droit à une escorte comme celle-là.
Des isards à 10m, mais ce n'était pas sur un terrain de golf

2013 : 54 -> 34.5 / 2014 : 34.5 -> 30.5 / 2015 : 30.5 -> 30
2016 -> 2023 : pas de compet, plus trop de parcours.
2024 : 28.8
2025 : 27.3 - 25.1 - 24.7
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2024 : 28.8
2025 : 27.3 - 25.1 - 24.7