P'tain... arrêtez... j'ai trop mal au bide tellement je rigole...
Pour moi, autant que je m'en souvienne... il y a eu :
- un de mes premiers parcours quand j'étais débutant, obligé de rentrer en plein milieu de partie tellement j'avais perdu de balles : le problème c'est que j'étais au bout du bout du parcours, j'ai fait au moins 1 borne le sac sur le dos sans taper un fer !
- trophée GT 2007 : histoire de ne pas être trop ridicule sur le parcours, pour avoir le temps de m'échauffer, faire connaissance avec les membres GT, boire un café, etc... (je ne logeais pas sur place), je décide de me lever assez tôt et de me rendre 1h30 en avance au club-house. Arrivé sur place, personne dans le club-house, personne au café... c'est quoi ce bord... ? Bon tant pis, je vais prendre ma carte de score :
moi : "bonjour, Lionel B. , j'ai un départ à 9h30 !"
réponse accueil : "heu... non... vous partez dans 5 mn, monsieur B."

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= gros naze !!!
- trophée GT 2007 (suite) : je cours avec mon chariot jusqu'au practice, je vide une dizaine de balle en socket (super pour le mental), et direction le départ ! Arrivé super essouflé sur l'aire de départ, à peine dit bonjour aux gens que je croisais (ou en courant... Ha, salut, c'est comment toi ? bon ok il est déjà trop loin, j'ai rien entendu
Histoire de ne pas être trop ridicule sur le parcours (je l'ai déjà dit ça je crois), et ne connaissant pas trop le parcours, j'avais étudié sur le site internet, le parcours, la carte de score pour les distances, etc... défini une stratégie sécurité "départ boules jaunes", pas de driver dans le sac... pour entendre annoncer Mr Brian : "Mr Lionel... départ BLANCS !!!"

(bon, ça va, j'ai gardé la même stratégie et j'ai scoré 41 pts stab ; mais sur le coup, ça m'a pas fait rire du tout !)
- l'an passé, j'utilise pour la première fois, une machine automatique pour nettoyer les godasses, avec des rouleaux qui tournent super vite (et super fort, mais ça je ne le sait pas encore lorsque j'attend mon tour), le gars devant moi termine, ok ; il y a 3 personnes derrière moi qui attendent, ok ; je met la machine en marche, j'avance mon pied... et là... c'est le drame ! le pied qui part en vrille et ma jambe reste coincée à mi-mollet dans la machine. C'est pas qu'ça fait mal, ça surprend un peu... mais le temps que je capte qu'il fallait que je stoppe le bouton pour pouvoir retirer mon pied, j'ai eu le temps de bien passer pour un c... et mon pantalon était bien lavé aussi... une jambe blanche... une jambe noire !
- il n'y a pas très longtemps, tout le monde pose son chariot au départ du trou n°15, car on jouait le trou 14 et on avait tous pitché le green, beaucoup plus loin (40 m env) ; beaucoup plus haut (dénivelé de 10 % env) ; je me met derrière ma balle, j'étudie la ligne, je suis prêt à jouer... merde mon putter, je l'ai oublié dans le sac !