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Sans faire de politique, il y une sorte de paupérisation de l'ancienne classe moyenne.

Ceux qui étaient plutôt vers le haut, ont bénéficié des années à taux faibles, de hausses de salaire et de grosses primes pour basculer dans une tranche qui peut "voir venir" et garder un train de vie conséquent.
Et ceux qui était plutôt vers le bas, qui n'ont pas pu ou réussi à profiter des années pré COVID, et là ça coince.

Et les loisirs qui coûtaient chers deviennent des loisirs, si ce n'est de "riches", trop chers.

Je n'elargis pas la réflexion, cela deviendrait vraiment politique.

J'ai commencé après 40 ans mais c'était une grosse connerie car la période 40+ et avant la retraite pour un actif c'est le plus cher sachant qu'en plus il y a:
- les enfants à charge
- peut-être les parents à charge
- la charge de logement (crédit...)
- les responsabilités professionnelles qui augmentent.

Par exemple dans le bâtiment de mémoire c'est entre 40 et 50 ans que le risque d'accidents mortels augmente significativement... C'est probablement pas juste une coïncidence.

Du coup sur cette tranches d'âge déjà bien sous pression et qui a peu de temps, a été décidé que c'était là qu'il fallait payer le plus... Alors que pas le temps de jouer en semaine, éventuellement quelques fois le week-end... mais il y a le boulot, les enfants et les parents...


Du coup si en plus les tarifs augmentent violemment... ça risque de coincer.

Et on revient au discours de la Fédé qui veut soit disant faciliter l'accès au golf mais trouve une excuse (0 Phyto, entretien, ...) aux green fee chers

PS J'ai commencé au milieu des années 2000, mais j'ai du arrêté au bout d'un an (problème physique+autre projet de vie). Et j'ai repris à 0 en 2020.
Je regrette vraiment de pas avoir pu continuer ou de ne pas avoir tenté de reprendre plus tôt

Sur insta j'ai eu une réponse de la fédération qu'ils ne sont pas maîtres des politiques tarifaires des entreprises privées.
C'est vrai.
Mais la problématique reste vraie: c'est cher, c'est bondé les seuls moments où je peux y aller. En plus c'est un sport à progression lente et à régression rapide. Donc à un moment il est difficile de maintenir le niveau de plaisir et de justifier la place prise dans le budget familial...

David7578 a écrit : ↑21 févr. 2023, 18:52 c'est un sport à progression lente et à régression rapide.

C'est exactement ça

Draidenk a écrit : ↑15 févr. 2023, 21:27 On a Marché sur le Green

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je confirme pour OMG

il y a pas mal d'asso en région Parisienne.

bfi a écrit :

Draidenk a écrit : ↑15 févr. 2023, 21:27 On a Marché sur le Green

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je confirme pour OMG

il y a pas mal d'asso en région Parisienne.

Hello,
Je suis preneur d’infos.
Merci !


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PHILTI a écrit : ↑22 févr. 2023, 17:08

bfi a écrit :

Draidenk a écrit : ↑15 févr. 2023, 21:27 On a Marché sur le Green

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je confirme pour OMG

il y a pas mal d'asso en région Parisienne.

Hello,
Je suis preneur d’infos.
Merci !


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asso de boite : EDF, AirFrance, ... ben faut connaitre ou etre de la boite

pour les autres asso, ca marche souvent par cooptation .donc faut rencontrer qlq'un qui te parainera.

pour amener ma pierre à l'édifice que les prix des green fee ne sont pas si cher en France par rapport à beaucoup pays étrangers :
je reviens du Vietnam où 90% de la population ne roule pas sur l'or, c'est le moins qu'on puisse dire : un Golf Montgomerie à Dan Hang : 160€ le green fee
au Cambodge, Ankor Golf par Faldo à 155 €
De beaux golfs, certes, mais loin de la renommé de certains parcours stars
Même pour les classes moyennes du pays, c'est innaccessible.
Résultat : n'y jouent que des hordes de Coréens ou Japonnais en vacances. Et qui s'en foutent du prix.

On retombe sur ce qui était dit plus haut.
Ce sont des parcours dont la cible est touristique et pas locale.
D'où le tarif

J’imagine que si le golf avait un fort ancrage culturel, comme chez nos voisins outre manche, nous aurions des golfs municipaux à entretien limité mais accessibles financièrement.

Mais en France, est-ce viable économiquement un golf associatif ?


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