Bubulle
Publié : 03 déc. 2007, 15:33
Bonjour,
Je m'appelle François, j'ai 35 ans.
Je suis en train de me remettre au golf. En fait, j'ai commencé assez jeune. J'avais 8 ans. J'ai joué pendant 12 ans. Jamais classé car je ne faisais pas assez de compétitions, mais je jouais entre 10 et 15. J'ai arreté en 1992, non pas par frustration mais tout simplement parce que j'avais été habitué à jouer dans des conditions plutôt privilégiées. J'habitais dans l'Oise à Compiègne. Il y a un golf très sympa là-bas. Je pouvais y aller quand je voulais. Après les cours par exemple. Et comme ce golf était surtout fréquenté le week-end par des Parisiens, la semaine, il m'arrivait de faire 9 ou voire même 18 trous sans croiser quiconque. Le bonheur quoi !
En arrivant à Paris (études oblige), j'ai été très étonné de voir qu'il fallait réserver ses départs, qu'on avait du monde devant, derrière... Cauchemardesque.
Aujourd'hui, l'appel de la petite balle blanche est plus fort que tout. J'ai remis le doigt dedans l'autre jour en allant sur un practice pas loin du boulot avec un collègue. C'est là que j'ai réalisé que je n'étais pas tout à fait seuvré.
Alors voilà... Je vais me racheter une série, reprendre une licence et zou !...
Je m'appelle François, j'ai 35 ans.
Je suis en train de me remettre au golf. En fait, j'ai commencé assez jeune. J'avais 8 ans. J'ai joué pendant 12 ans. Jamais classé car je ne faisais pas assez de compétitions, mais je jouais entre 10 et 15. J'ai arreté en 1992, non pas par frustration mais tout simplement parce que j'avais été habitué à jouer dans des conditions plutôt privilégiées. J'habitais dans l'Oise à Compiègne. Il y a un golf très sympa là-bas. Je pouvais y aller quand je voulais. Après les cours par exemple. Et comme ce golf était surtout fréquenté le week-end par des Parisiens, la semaine, il m'arrivait de faire 9 ou voire même 18 trous sans croiser quiconque. Le bonheur quoi !
En arrivant à Paris (études oblige), j'ai été très étonné de voir qu'il fallait réserver ses départs, qu'on avait du monde devant, derrière... Cauchemardesque.
Aujourd'hui, l'appel de la petite balle blanche est plus fort que tout. J'ai remis le doigt dedans l'autre jour en allant sur un practice pas loin du boulot avec un collègue. C'est là que j'ai réalisé que je n'étais pas tout à fait seuvré.
Alors voilà... Je vais me racheter une série, reprendre une licence et zou !...