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Le sujet qui fait peur ... sur le parcours

Avant je regardais et pensais à l'obstacle et effectivement .. plouf
Maintenant je fais plus ou moins ce que tu dis je focalise sur la cible et celle-ci doit être ma dernière pensée. Cela m'est arrivé d'arrêter ma routine car avant de démarré j'avais jeté un coup d'oeil à la flotte ou bien une pensée pour l'OE donc hop je sors et je recommence.
Depuis je vais beaucoup moins dans les OE, si j'y vais c'est que j'ai vraiment mal taper (comment ça c'est souvent ??? )

Edit : ah oui point important soulevé par Corsaire, je garde mes balles j'ai juste changé pour des balles a 1,5€ au lieu de 4€ du coup je ne pense plus au prix de ma balle à la flotte !
cela parait con mais c'est une arrière pensée que je n'ai plus sur l'ensemble de mes coups et c'est toujours un élément polluant en moins.

Suffit de ne pas regarder l'eau à l'adresse. Focus drapeau ou un arbre dans la ligne du mât, regard vers le haut, on swingue, boum !

Et ne pas prendre des put*#°_ de balles de merde comme fait pas mal de monde quand y'a de l'eau à sauter, et changent de balle avant de sauter, car souvent des cailloux ou balles récupérées à l'épuisette, et elles n'avancent pas, donc bouillon, donc tu prends encore plus pourri la fois d'après, et ça avance encore moins car la balle est morte. Cercle vicieux.

ALP a écrit : ↑18 juil. 2019, 07:23
Aussi , on peut prendre en considération qu'une balle de golf est moins portée lorsqu'elle passe au-dessus d'un OE. De l'ordre de 2 % environ ( température et taux d'hygrométrie "normales ") ,moins significatif en été par forte chaleur et temps sec+++ en revanche . Par exemple : Par 3 de 135 m _ 2% = 2,70 m .

Intéressant car j'ignorais cela, mais représentatif seulement pour les coups qui nécessitent un carry d'eau sur toute la longueur du coup. Dans les faits, l'impact sur le vol de balle sera marginal sur la grande majorité des coups impliquant de survoler de l'eau, car il est assez rare d'avoir à jouer ce genre de "100% carry" (ou même 80%).

Le focus... je ne pense pas à l'OE, mais uniquement à la zone de retombée souhaitée, à la trajectoire voulue, et à mon setup pour obtenir cette trajectoire. L'eau n'existe que dans la phase d'analyse du coup, de la même manière qu'un bunker, qu'un HL, qu'un splendissime bosquet ou que toute autre zone qui ne serait pas ma zone cible. Trop fastoche

AuldCom a écrit : ↑18 juil. 2019, 08:30

ALP a écrit : ↑18 juil. 2019, 07:23
Aussi , on peut prendre en considération qu'une balle de golf est moins portée lorsqu'elle passe au-dessus d'un OE. De l'ordre de 2 % environ ( température et taux d'hygrométrie "normales ") ,moins significatif en été par forte chaleur et temps sec+++ en revanche . Par exemple : Par 3 de 135 m _ 2% = 2,70 m .

Intéressant car j'ignorais cela, mais représentatif seulement pour les coups qui nécessitent un carry d'eau sur toute la longueur du coup. Dans les faits, l'impact sur le vol de balle sera marginal sur la grande majorité des coups impliquant de survoler de l'eau, car il est assez rare d'avoir à jouer ce genre de "100% carry" (ou même 80%).

Oui très bon à savoir ca ! Sur l'alba, au 18, avec Captain Corsaire Fracasse je me suis fait avoir. J'ai toute l'eau à passer (puisque j'ai décidé d'attaquer) et de mémoire ma balle tombe à 2m de la berlinoise. Je me rappelle avoir été surpris de ce petit manque de distance... maintenant je ne le serais plus. Merci Alain pour cette info.

Hello (ou plus exactement "et l'eau" ) !

Les OE qui génèrent une pression sur mon disque dur sont les latéraux. Pour les frontaux aucune pression : je pars du principe que si la distance je sais la faire, je vais la refaire et l'OE (ou bunker) ne me parasite jamais. Maintenant il m'arrive de claquer le bon coup et d'être trop court, je vais donc essayer d'intégrer le paramètre de "portabilité".

Pour les OEL, si un long plan d'eau borde un fairway, et plus particulièrement lors d'un départ, mon driver s'interdit naturellement (pour le moment j'espère ) car une fois sur deux c'est plouf et surtout quand ils sont à gauche

Garicoubis a écrit : ↑18 juil. 2019, 10:15 Hello (ou plus exactement "et l'eau" ) !

Les OE qui génèrent une pression sur mon disque dur sont les latéraux. Pour les frontaux aucune pression : je pars du principe que si la distance je sais la faire, je vais la refaire et l'OE (ou bunker) ne me parasite jamais. Maintenant il m'arrive de claquer le bon coup et d'être trop court, je vais donc essayer d'intégrer le paramètre de "portabilité".

Pour les OEL, si un long plan d'eau borde un fairway, et plus particulièrement lors d'un départ, mon driver s'interdit naturellement (pour le moment j'espère ) car une fois sur deux c'est plouf et surtout quand ils sont à gauche

Pareil!
Pour Les golfeurs moyens que nous sommes, il est plus facile de gérer la profondeur que l'aléa "effet indésirable"...

Pour moi l'eau n'existe pas... Ou du moins pas pour mon coup. Comme les bunker d'ailleurs.

Je prend les ZàP, les bunkers les arbres en compte pour définir la cible et la "bail area" (en gros où je veux aller et, si ça ne marche pas, où je préférerais rater) mais ensuite je joue mon coup sans y penser

Comme disait un de mes anciens pros "de toute façon que tu y penses ou pas il est là bas, et c'est pas là où tu cherches à aller... Est ce que tu penses à la lune quand tu joues ?"

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