Parce que certes, on peut passer des heures à décortiquer un swing, à parler de stratégie, refaire le parcours coup par coup, en mettre plein le dos de dubush parce qu’il n’a pas encore gagné un Majeur, refaire le monde ou râler contre les vieux (parce que blague à part, même s’ils sont hyper mystérieux, ils sont encore autorisés à jouer le week-end !!!), ou commenter la position du bassin un peu trop exagéré vers l’arrière de la posture de la bien jolie miss Club House (la nulle, heureusement qu’elle est jolie…)… On peut…

Et bien quand même : il manque un truc !! Le bon whisky de derrière les fagots qu’on sirote en s’imprégnant de l’ambiance chaleureuse des fauteuils profonds du club.
Pour remédier à ça, voici la petite causerie automnale que je vous propose : « Et vous ? Quel whisky après votre partie de golf ??? »
Cette problématique (qui au-delà de son caractère profondément – voire intrinsèquement – humaniste tant elle rapproche les peuples) s’est imposée à moi ce joyeux mercredi du 11 novembre : La partie était belle, la première depuis longtemps où je me suis vraiment amusé, il fait froid, un début de brume humide commence à s’infiltrer dans les rues, et, pourtant amateur de Speyside et de Highlands du nord, j’ai envie d’une douceur sucrée, légèrement tourbée et iodée… Ce soir-là ce sera un Caol Ila Distillers Edition. Ca a fini magnifiquement la journée !
Mais il y a surement bien plus amateur et connaisseur que moi, alors faites-nous rêver !