Corsaire a écrit : ↑27 nov. 2023, 08:08
waldezign a écrit : ↑24 nov. 2023, 21:34
Corsaire a écrit : ↑23 nov. 2023, 14:50
Perso j'ai un sac plus léger que je prends l'hiver, étanche, et j'emporte le minimum en accessoires, etc.
Par contre je ne laisse aucun club chez moi !
Tu en a 14, je pense ? C’est pas un peu lourd à force ?
J’ai quelques parcours avec des reliefs à faire cet hiver, c’est un peu pénible sur 18 trous… je ne garde qu’une dizaine de clubs, mais il faut faire des choix cornéliens
Je préfère porter 14 plutôt qu'il m'en manque un que j'aime taper ahahah
Mon parcours est accidenté, surtout le finish costaud, ça pique un peu mais bon ^^
La reprise du hockey a redonné de la condition
Je vois bien l’idée !

Pas facile de faire des choix.
Dans son dernier live, Rina donne quelques pistes intéressantes pour ceux qui ont moins la forme que toi, et/ou evoluentdans des environnements plus contraignants (marcher dans la boue est assez fatiguant). Sans compter ceux qui n’ont pas la place pour 14 clubs dans leur sac trépied
Rina a raison sur le fait que les bois et hybrides étant plutôt légers, on peut tous les prendre. Pour ma part, j’abandonne mon h4 car je ne suis pas sûr de son utilité entre mon h5 et mon h3 (shafts différents et longueur de shaft à vérifier), mais je pourrais l’emmener après un étalonnage au Trackman satisfaisant.
Pour les fers, notre panda conseille d’en virer un sur deux, en gros, en alternant numéros pairs et impairs toutes les semaines (ou moins fréquemment)
À titre perso, je préfère assez nettement garder PW, F8 et F6, mais j’imagine pouvoir facilement changer pour PW, F9 et F8 (éventuellement F7).
En revanche, si Rina garde ses deux wedges GW et SW, je ne conserve que le plus ouvert car je peux couvrir le gap avec le PW, qui lui est plus court qu’à la belle saison, environ 20m de moins.
En effet, on peut perdre facilement 2 clubs avec les vêtements plus épais, le froid qui crispe un peu, les lies qui limitent la vitesse de la tête du club, sans même parler des vents hivernaux. Du coup, il n’est pas farfelu de revoir ses ambitions en terrain miné par les lombrics
