J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
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J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
… et j’en cauchemarde encore !
Une opportunité, pourtant sympathique et pleine de promesses, offerte par BookandGolf dès le mardi suivant l’Alstom Open de France moyennant 49€ le green fee.
En plus, ça se présentait sous les meilleurs auspices. Une belle journée ensoleillée, contrairement au mauvais temps qui avait sévi durant l’étape Française de la Race to Dubaï. Surlendemain de la victoire de Marcel Siem, sur cet oiseau de malheur qu’est l’Albatros. Un parcours dantesque, surtout lorsqu’il est préparé pour des champions de la trempe de Justin Rose, Lee Westwood, Nicolas Colsaerts, Graeme McDowell, Ian Poulter, Martin Kaymer, Peter Hanson,…
Des roughs, dont les herbes entrecroisées par une tonte faite dans un sens puis dans l’autre, sont aussi sournois que des sables mouvants. Des greens rasés de près, plus roulants que le carrelage de la salle de bains. Des drapeaux plantés dans des recoins improbables. Bref, bienvenue en enfer !
Qu’à cela ne tienne, l’envie de se mesurer au géant du Golf National était trop forte. Accompagné d’un autre amateur et de 2 amis pros enseignants ayant traîné leurs crampons sur l’Alps Tour et le Challenge Tour, nous voilà rassemblés au Tee n°1, baptisé « En avant ». Ou plutôt, nous voilà 65 mètres en arrière, puisque nous sommes partis évidemment des marques noires. Dans les conditions de l’Open de France jusqu’au bout. Mais que ce 1er trou m’a semblé loin et long de ces boules réservées aux pros. Et dire que la plupart joue un bois 3 pour éviter dans l’eau en face et se laisser un wedge pour l’approche, explique Thomas Levet dans le programme officiel de l’Open national. Bref, je m’apprête à vivre un autre jeu. Un autre sport. Un autre monde.
Du coup, je dois vous avouer que je n’ai jamais été aussi heureux de réussir à faire… un double bogey ! Oui, piètre fierté. Et encore plus de faire bogey sur le trou suivant, le fameux Par 3 baptisé l’appontage. Ce trou n°2 a d’ailleurs été l’occasion d’un scénario assez extraordinaire, comme seul le golf sait en offrir régulièrement. En effet, le 1er pro est arrivé à poser sa balle sur le green tel un chasseur qui se scotche sur un porte-avions. Le 2nd, plus malchanceux, a transformé la sienne un sous-marin. Mais rien n’étant jamais acquis dans ce jeu de malheur, tant que la balle n’a pas basculé au fond du trou, le 1er a pris 3 putts et concédé le bogey tandis que le 2nd a rentré miraculeusement son 3ème coup de la dropping zone, réalisant ainsi le Par. Un sport de malade je vous dis.
Trou n°3, le Mérantais. 1er Par 5 de la partie. Après une montée jusqu’au tee de départ, digne d’une course en montagne, on devine, au loin, très, très loin, une mince bandelette de fairway. Il m’aurait fallu un miracle pour poser ma balle là-dessus. Voilà du coup l’occasion, la 1ère d’une longue série, d’aller tâter du rough. Mes poignets s’en souviennent encore. Les bunkers aussi vu que c’était le seul endroit vers où ma balle (ou plutôt mes balles) trouvaient digne d’intérêt d’atterrir. Le début de la galère.
Trou n°4, la plage. Un air de vacances ? Pas vraiment, sur ce long Par 4 de 445 mètres. Si long qu’un peu plus je n’atteins même pas le fairway malgré un bon Drive.
Trou n°5, plein gaz. Et… explosion en vol, hélas. Balle perdue au Drive. Balle perdue sur le 2ème coup. Pas la peine de ralentir la partie. Je préfère passer au trou suivant.
Trou n°6, maïs ou colza. Plutôt… rough pour moi, une fois de plus. En revanche j’ai clairement l’impression de devoir le faucher comme des plants de céréales pour arriver à sortir ma balle. Ce n’est plus du golf cette partie, c’est de l’agriculture.
Trou n°7, le dromadaire. Le fameux. Sans aucun doute le Par 4 le plus compliqué du parcours. Et un nouveau départ qui le rend encore plus terrifiant. Sans surprise, je rate à nouveau le fairway. Puis, piégé par les pentes, je finis par envoyer la balle derrière le grillage. Je ne putterai pas non plus ce trou. A se demander si mon putter va vraiment beaucoup me servir aujourd’hui.
Trou n°8, le green keeper. Par 3 vertigineux de 190 mètres. Aïe ! Vent de face, re-aïe ! Je me tâte même pour sortir le driver avant de choisir finalement le bois 3. C’est qu’un Par 3 quand même ! Je tape. Elle vole. Verdict : j’aurais dû choisir le Drive. J’ai péniblement atteint l’avant green. Nouvelle humiliation.
Trou n°9, vent debout. « Un par 5 pratiquement inatteignable en 2 coups », rassure le programme officiel de l’Open de France. Je confirme. Inatteignable même en 3, 4, 5, 6,… 7 coups. Aussi, je me fixe un nouvel objectif : terminer le plus de trous possible. Pitoyable, n’est-ce pas ? Il faut dire que la fatigue se fait déjà sentir. Un peu de lassitude aussi de devoir attendre aussi longtemps entre chaque trou à cause de la lenteur des parties de devant. 3h pour boucler l’aller, même pour l’Albatros, ça fait long.
Trou n°10, la mare aux foulques. Ah, enfin, un trou à priori jouable pour bien débuter le retour. Pressentiment confirmé par un bogey qui me redonne du baume au coeur. C’est fou comme l’enthousiasme peut être relatif. Très relatif. Joie, hélas, qui sera de courte durée. Il est déjà temps de prendre une nouvelle leçon d’humilité avec le trou suivant.
Trou n°11, les Grenouilles. Pas sûr qu’il y en ait encore beaucoup à force d’être bombardées de petites balles blanches. Dont la mienne, que les fourrés attendaient avec appétit. Tellement affamés qu’ils n’en ont fait qu’une bouchée. Trou suivant.
Trou n°12, le goulet. Il rime bien avec mon nouveau surnom : le boulet. Un trou dont je n’aurai vu que le tee de départ. 2 drives à gauche, 2 balles perdues. Mon putter peut rester une nouvelle fois au chaud dans le sac. Trou suivant.
Trou n°13, l’île aux chênes. Il ne manquait plus que ça. Des arbres, maintenant. Après le rough et les bunkers, me voilà en train de chatouiller les plus hautes branches de ces chênes qui défendent vaillamment le green. Je m’en sors avec un double bogey.
Trou n°14, les collines de Colin. En hommage à Colin Montgomerie et de son fantastique coup de bois 3 qui lui a permis de faire un eagle sur ce Par 5 de 555 mètres lors du dernier tour de l’Open de France 2000, qu’il a d’ailleurs remporté. Un exploit que je peux d’autant plus mesurer que je n’ai même pas réussi à driver au-delà des boules rouges. 1er Drive à droite, le 2nd à gauche. 2 nouvelles balles perdues. Et l’un des pros enseignants qui doit abandonner après une sortie de rough qui a eu raison d’un poignet fragile et douloureux. Satané parcours. Il est temps que le calvaire s’arrête avant de devoir déplorer une nouvelle victime.
Trou n°15, le juge. Et une nouvelle sentence radicale pour avoir voulu voler au dessus de l’eau : triple bogey.
Trou n°16, l’appel. Je ne sais pas si c’est un appel du pied pour abandonner une partie catastrophique et rentrer au club-house plus tôt que prévu mais ce n’est pas l’envie qui manque. Une fois de plus je condamne ma balle à la noyade. Allez, courage plus que 2 trous.
Trou n°17, le verdict. Décidément, après le juge et l’appel, je vais finir par croire que le golf me fait un procès aujourd’hui ! Dimanche, les pros ont sorti le Drive et le bois 3 pour pouvoir toucher le green, de ce Par 4 de 443 mètres, en régulation. Bref ce n’est pas encore sur cet avant dernier trou que j’aurai l’espoir de faire un Par. D’ailleurs je m’égare une fois de plus dans le rough. Et je réalise que finalement, depuis le 1er trou, j’aurai joué beaucoup plus souvent dans le rough que sur les fairways.
Trou n°18, la foule. « Un des Par 4 les plus difficiles sur le Circuit Européen et probablement le finish le plus costaud », rappelle le programme officiel de l’Open de France. Je confirme, c’est l’estocade qui m’achève. Un Drive dans le rough, un 2ème coup dans l’eau et 3 putts pour finir en beauté sur un triple bogey. Il était temps que le supplice s’achève.
Bilan : aucun Par, 4 bogeys, 4 double, 4 triple et 7 croix. Mais surtout, une vingtaine de balles perdues, des nerfs en pelote, des courbatures de la tête aux pieds,… bref de quoi avoir envie de jeter les clubs dans l’une des poubelles du parking en regagnant la voiture. Ce parcours de l’Albatros dans les conditions de l’Alstom Open de France aura donc été mon pire cauchemar.
Mais, après réflexion, tout de même, quelle belle leçon que de jouer dans la même cour que les champions et de pouvoir toucher vraiment du doigt le niveau intergalactique de ces athlètes hors norme, comparé à nous autres, simples amateurs du Dimanche. C’est effectivement un autre jeu, un autre sport, un autre monde…
http://www.hole4golf.com/2012/07/30/hol ... de-france/
Une opportunité, pourtant sympathique et pleine de promesses, offerte par BookandGolf dès le mardi suivant l’Alstom Open de France moyennant 49€ le green fee.
En plus, ça se présentait sous les meilleurs auspices. Une belle journée ensoleillée, contrairement au mauvais temps qui avait sévi durant l’étape Française de la Race to Dubaï. Surlendemain de la victoire de Marcel Siem, sur cet oiseau de malheur qu’est l’Albatros. Un parcours dantesque, surtout lorsqu’il est préparé pour des champions de la trempe de Justin Rose, Lee Westwood, Nicolas Colsaerts, Graeme McDowell, Ian Poulter, Martin Kaymer, Peter Hanson,…
Des roughs, dont les herbes entrecroisées par une tonte faite dans un sens puis dans l’autre, sont aussi sournois que des sables mouvants. Des greens rasés de près, plus roulants que le carrelage de la salle de bains. Des drapeaux plantés dans des recoins improbables. Bref, bienvenue en enfer !
Qu’à cela ne tienne, l’envie de se mesurer au géant du Golf National était trop forte. Accompagné d’un autre amateur et de 2 amis pros enseignants ayant traîné leurs crampons sur l’Alps Tour et le Challenge Tour, nous voilà rassemblés au Tee n°1, baptisé « En avant ». Ou plutôt, nous voilà 65 mètres en arrière, puisque nous sommes partis évidemment des marques noires. Dans les conditions de l’Open de France jusqu’au bout. Mais que ce 1er trou m’a semblé loin et long de ces boules réservées aux pros. Et dire que la plupart joue un bois 3 pour éviter dans l’eau en face et se laisser un wedge pour l’approche, explique Thomas Levet dans le programme officiel de l’Open national. Bref, je m’apprête à vivre un autre jeu. Un autre sport. Un autre monde.
Du coup, je dois vous avouer que je n’ai jamais été aussi heureux de réussir à faire… un double bogey ! Oui, piètre fierté. Et encore plus de faire bogey sur le trou suivant, le fameux Par 3 baptisé l’appontage. Ce trou n°2 a d’ailleurs été l’occasion d’un scénario assez extraordinaire, comme seul le golf sait en offrir régulièrement. En effet, le 1er pro est arrivé à poser sa balle sur le green tel un chasseur qui se scotche sur un porte-avions. Le 2nd, plus malchanceux, a transformé la sienne un sous-marin. Mais rien n’étant jamais acquis dans ce jeu de malheur, tant que la balle n’a pas basculé au fond du trou, le 1er a pris 3 putts et concédé le bogey tandis que le 2nd a rentré miraculeusement son 3ème coup de la dropping zone, réalisant ainsi le Par. Un sport de malade je vous dis.
Trou n°3, le Mérantais. 1er Par 5 de la partie. Après une montée jusqu’au tee de départ, digne d’une course en montagne, on devine, au loin, très, très loin, une mince bandelette de fairway. Il m’aurait fallu un miracle pour poser ma balle là-dessus. Voilà du coup l’occasion, la 1ère d’une longue série, d’aller tâter du rough. Mes poignets s’en souviennent encore. Les bunkers aussi vu que c’était le seul endroit vers où ma balle (ou plutôt mes balles) trouvaient digne d’intérêt d’atterrir. Le début de la galère.
Trou n°4, la plage. Un air de vacances ? Pas vraiment, sur ce long Par 4 de 445 mètres. Si long qu’un peu plus je n’atteins même pas le fairway malgré un bon Drive.
Trou n°5, plein gaz. Et… explosion en vol, hélas. Balle perdue au Drive. Balle perdue sur le 2ème coup. Pas la peine de ralentir la partie. Je préfère passer au trou suivant.
Trou n°6, maïs ou colza. Plutôt… rough pour moi, une fois de plus. En revanche j’ai clairement l’impression de devoir le faucher comme des plants de céréales pour arriver à sortir ma balle. Ce n’est plus du golf cette partie, c’est de l’agriculture.
Trou n°7, le dromadaire. Le fameux. Sans aucun doute le Par 4 le plus compliqué du parcours. Et un nouveau départ qui le rend encore plus terrifiant. Sans surprise, je rate à nouveau le fairway. Puis, piégé par les pentes, je finis par envoyer la balle derrière le grillage. Je ne putterai pas non plus ce trou. A se demander si mon putter va vraiment beaucoup me servir aujourd’hui.
Trou n°8, le green keeper. Par 3 vertigineux de 190 mètres. Aïe ! Vent de face, re-aïe ! Je me tâte même pour sortir le driver avant de choisir finalement le bois 3. C’est qu’un Par 3 quand même ! Je tape. Elle vole. Verdict : j’aurais dû choisir le Drive. J’ai péniblement atteint l’avant green. Nouvelle humiliation.
Trou n°9, vent debout. « Un par 5 pratiquement inatteignable en 2 coups », rassure le programme officiel de l’Open de France. Je confirme. Inatteignable même en 3, 4, 5, 6,… 7 coups. Aussi, je me fixe un nouvel objectif : terminer le plus de trous possible. Pitoyable, n’est-ce pas ? Il faut dire que la fatigue se fait déjà sentir. Un peu de lassitude aussi de devoir attendre aussi longtemps entre chaque trou à cause de la lenteur des parties de devant. 3h pour boucler l’aller, même pour l’Albatros, ça fait long.
Trou n°10, la mare aux foulques. Ah, enfin, un trou à priori jouable pour bien débuter le retour. Pressentiment confirmé par un bogey qui me redonne du baume au coeur. C’est fou comme l’enthousiasme peut être relatif. Très relatif. Joie, hélas, qui sera de courte durée. Il est déjà temps de prendre une nouvelle leçon d’humilité avec le trou suivant.
Trou n°11, les Grenouilles. Pas sûr qu’il y en ait encore beaucoup à force d’être bombardées de petites balles blanches. Dont la mienne, que les fourrés attendaient avec appétit. Tellement affamés qu’ils n’en ont fait qu’une bouchée. Trou suivant.
Trou n°12, le goulet. Il rime bien avec mon nouveau surnom : le boulet. Un trou dont je n’aurai vu que le tee de départ. 2 drives à gauche, 2 balles perdues. Mon putter peut rester une nouvelle fois au chaud dans le sac. Trou suivant.
Trou n°13, l’île aux chênes. Il ne manquait plus que ça. Des arbres, maintenant. Après le rough et les bunkers, me voilà en train de chatouiller les plus hautes branches de ces chênes qui défendent vaillamment le green. Je m’en sors avec un double bogey.
Trou n°14, les collines de Colin. En hommage à Colin Montgomerie et de son fantastique coup de bois 3 qui lui a permis de faire un eagle sur ce Par 5 de 555 mètres lors du dernier tour de l’Open de France 2000, qu’il a d’ailleurs remporté. Un exploit que je peux d’autant plus mesurer que je n’ai même pas réussi à driver au-delà des boules rouges. 1er Drive à droite, le 2nd à gauche. 2 nouvelles balles perdues. Et l’un des pros enseignants qui doit abandonner après une sortie de rough qui a eu raison d’un poignet fragile et douloureux. Satané parcours. Il est temps que le calvaire s’arrête avant de devoir déplorer une nouvelle victime.
Trou n°15, le juge. Et une nouvelle sentence radicale pour avoir voulu voler au dessus de l’eau : triple bogey.
Trou n°16, l’appel. Je ne sais pas si c’est un appel du pied pour abandonner une partie catastrophique et rentrer au club-house plus tôt que prévu mais ce n’est pas l’envie qui manque. Une fois de plus je condamne ma balle à la noyade. Allez, courage plus que 2 trous.
Trou n°17, le verdict. Décidément, après le juge et l’appel, je vais finir par croire que le golf me fait un procès aujourd’hui ! Dimanche, les pros ont sorti le Drive et le bois 3 pour pouvoir toucher le green, de ce Par 4 de 443 mètres, en régulation. Bref ce n’est pas encore sur cet avant dernier trou que j’aurai l’espoir de faire un Par. D’ailleurs je m’égare une fois de plus dans le rough. Et je réalise que finalement, depuis le 1er trou, j’aurai joué beaucoup plus souvent dans le rough que sur les fairways.
Trou n°18, la foule. « Un des Par 4 les plus difficiles sur le Circuit Européen et probablement le finish le plus costaud », rappelle le programme officiel de l’Open de France. Je confirme, c’est l’estocade qui m’achève. Un Drive dans le rough, un 2ème coup dans l’eau et 3 putts pour finir en beauté sur un triple bogey. Il était temps que le supplice s’achève.
Bilan : aucun Par, 4 bogeys, 4 double, 4 triple et 7 croix. Mais surtout, une vingtaine de balles perdues, des nerfs en pelote, des courbatures de la tête aux pieds,… bref de quoi avoir envie de jeter les clubs dans l’une des poubelles du parking en regagnant la voiture. Ce parcours de l’Albatros dans les conditions de l’Alstom Open de France aura donc été mon pire cauchemar.
Mais, après réflexion, tout de même, quelle belle leçon que de jouer dans la même cour que les champions et de pouvoir toucher vraiment du doigt le niveau intergalactique de ces athlètes hors norme, comparé à nous autres, simples amateurs du Dimanche. C’est effectivement un autre jeu, un autre sport, un autre monde…
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Merci pour ce superbe réçit et même si le parcours a été un cauchemar golfique pour toi, je t'envie !
Imagine there's no countries
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And no religion too
Imagine all the people
Living life in peace...
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
une bonne leçon de golf hein
quand on se fait dominer par un parcours. J'ai donné 2 jours plus tard en compet, sous la pluie...je te laisse imaginer la tronche des types qui rentraient trempés comme des soupes avec juste quelques points brut stableford 


Driver TM RBZ 10.5° stiff
Bois 3 Callaway X stiff 15°
Hybride 2 Cobra AMP Rip siff 17°
Série Ping I20 / Shaft CFS
Wedges Wilson Staff FG 50 - 56
Putter Odyssey Metal-X #9
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Superbe récit, cela donne vraiment envie de pleurer l'année prochaine sur ce parcours.
J'espère que tu as fait quelques perfs depuis
J'espère que tu as fait quelques perfs depuis

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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Joué l'année dernière dans les mêmes conditions, back back tee, préparation Open :
5 points stb bruts, 16 pts net, et encore, grâce à 2 ficelles de 10m... bobo la tête
Pourtant pas l'impression d'avoir mal joué, simplement les longueurs sont infernales, les fairways inaccessibles ou trop étroits, les roughs insortables quand on y retrouve sa balle et les 3 putts à foison pour accéder à des drapeaux diaboliques... Quand le vent y met son grain de sel, cela n'est tout simplement pas jouable dans ces conditions pour des 2èmes série (ni pour des 1ères d'aileurs)...
Joué des blancs en condition plus "amateurs", j'ai joué 4 fois en compet dans l'année, 2 fois en zone tampon, 2 fois à 3 points... C'est dire la différence !
5 points stb bruts, 16 pts net, et encore, grâce à 2 ficelles de 10m... bobo la tête

Pourtant pas l'impression d'avoir mal joué, simplement les longueurs sont infernales, les fairways inaccessibles ou trop étroits, les roughs insortables quand on y retrouve sa balle et les 3 putts à foison pour accéder à des drapeaux diaboliques... Quand le vent y met son grain de sel, cela n'est tout simplement pas jouable dans ces conditions pour des 2èmes série (ni pour des 1ères d'aileurs)...
Joué des blancs en condition plus "amateurs", j'ai joué 4 fois en compet dans l'année, 2 fois en zone tampon, 2 fois à 3 points... C'est dire la différence !
Driver 10.5 Titleist 910D2- B5 Mizuno - rescue 21 titleist 910H - série Titleist AP2 Proto75 A - Wedges 54+58 Vokey Smilled / 50 CG12 2 points - Putters Scotty Futura + TaylorMade Putters (x3) + l'excccccelllent Yes Callie F
Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Perso , je ne vois pas d'intérêts de jouer ce type de parcours dans cette configuration " open de france ". C'est un comme dire , j'ai joué les clubs de TW ..... Après , c'est une question d'angle de vue

Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
C'est une opportunité pour jouer un parcours préparé dans des conditions de joueur pro, avec des greens exceptionnels.
Pour les excellents amateurs qui jouent régulièrement GP et équipe de clubs ça leur permet de voir le fossé de niveau qui existe avec le tour, et pour certains de relativiser leur golf.
Pour les autres (dont je fais parti) je ne vois pas l'intérêt, perdre des balles et tomber en dépression golfique ne m'a jamais fait vibrer.
Pour les excellents amateurs qui jouent régulièrement GP et équipe de clubs ça leur permet de voir le fossé de niveau qui existe avec le tour, et pour certains de relativiser leur golf.
Pour les autres (dont je fais parti) je ne vois pas l'intérêt, perdre des balles et tomber en dépression golfique ne m'a jamais fait vibrer.
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Et si on te propose de conduire la voiture de Sebastien Loeb, tu vas dire : "non je préfère essayer une C4 hdi 90ch...."surderien a écrit :Perso , je ne vois pas d'intérêts de jouer ce type de parcours dans cette configuration " open de france ". C'est un comme dire , j'ai joué les clubs de TW ..... Après , c'est une question d'angle de vue![]()
oui c'est une question de point de vue

Driver & FW n°3 JPX 850
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Clem25 a écrit :Et si on te propose de conduire la voiture de Sebastien Loeb, tu vas dire : "non je préfère essayer une C4 hdi 90ch...."surderien a écrit :Perso , je ne vois pas d'intérêts de jouer ce type de parcours dans cette configuration " open de france ". C'est un comme dire , j'ai joué les clubs de TW ..... Après , c'est une question d'angle de vue![]()
oui c'est une question de point de vue
+10000
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Ceux-là , qui en ont le" besoin " ne sont pas excellents alors ! Mais bon , ont peu toujours se prendre pour un autre , hein !Zeflo a écrit :C'est une opportunité pour jouer un parcours préparé dans des conditions de joueur pro, avec des greens exceptionnels.
Pour les excellents amateurs qui jouent régulièrement GP et équipe de clubs ça leur permet de voir le fossé de niveau qui existe avec le tour, et pour certains de relativiser leur golf.Pour les autres (dont je fais parti) je ne vois pas l'intérêt, perdre des balles et tomber en dépression golfique ne m'a jamais fait vibrer.

Le haut niveau amateur est une chose . Le niveau Pro sur le Tour en est un autre . Rien à voir . La comparaison des deux me semble même bien impertinent

Ce que je veux dire , réside dans le fait que le golf au niveau amateur ( quel qu'il soit ) est un jeu est doit le rester . Donc pour moi , jouer des parcours "injouables" ne sert à pas grand chose de constructif sur le plan expérience golfique . Ensuite , je comprends bien la démarche de Hole4Golf et le remercie au passage de son retour
Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Ben , nan j'ai pas le permis le conduire encore moins celui de piloter un bolide ....Clem25 a écrit :Et si on te propose de conduire la voiture de Sebastien Loeb, tu vas dire : "non je préfère essayer une C4 hdi 90ch...."surderien a écrit :Perso , je ne vois pas d'intérêts de jouer ce type de parcours dans cette configuration " open de france ". C'est un comme dire , j'ai joué les clubs de TW ..... Après , c'est une question d'angle de vue![]()
oui c'est une question de point de vue

Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Moi, ce qui m'intéresse, c'est la photo du leaderboard de Hole4hole
Quel site t'a permis de la truquer ?
Quel site t'a permis de la truquer ?
[Driver] TM R9
[Bois] TM R9 Ti 3
[Fer] Adams XTD Forged (4 - PW)
[Wedges] GW Adams CB2 et 56 & 60 en TM
[Putter] Odyssey White Hot #5
[Sac] Callaway FT Hybrid
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
A faire...un jour...
Car a mon avis il faut être un peu maso pour se farcir l'albatros dans ces conditions au dessus de 10 ou 15 d'index...
Car a mon avis il faut être un peu maso pour se farcir l'albatros dans ces conditions au dessus de 10 ou 15 d'index...
“I'd like to see the fairways more narrow. Then everyone would have to play from the rough, not just me.” -Severiano Ballesteros
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Perso aucun intérêt pour moi...
Si c est jute pour se prendre une bran.ée par le parcours
Je sais d avance que je n ai pas le niveau.
Par contre je le jouerai bien en Scramble comme l a fait Gun. Là tu peux te glisser quelques instants dans la peau d un joueur du tour
Quand je vois juste Courson des blanches à la belle saison...
Ps : pour la caisse de SL c est un peu pareil. Si c est pour l emplafonner au premier virage aucun intérêt.
Si c est jute pour se prendre une bran.ée par le parcours

Par contre je le jouerai bien en Scramble comme l a fait Gun. Là tu peux te glisser quelques instants dans la peau d un joueur du tour

Quand je vois juste Courson des blanches à la belle saison...
Ps : pour la caisse de SL c est un peu pareil. Si c est pour l emplafonner au premier virage aucun intérêt.
B1 Titleist 913 D2
B3 Srixon
H3 Srixon
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Mizuno S5 52-58
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" Le secret du golf, c'est de taper la balle fort, droit, et pas trop souvent. "
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Par contre, j'aimerai bien accompagné un pro sur un parcours de ce niveau, un peu comme être copilote dans la voiture de loeb 

Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...



Je ne vois pas l'intérêt de me gâcher une journée pour juste fouler le même parcours que les pros.
Mais bon je conçois que pour des joueurs ayant un bon index et des coups assez longs et précis aient envie de tenter l'expérience.
Pour les autres, je pense que c'est du même domaine que de jouer des lames ou du xstiff, ça n'a d'intérêt que pour les conversations de bar ou d'après repas pour bomber le torse en disant : "je l'ai fait".



Pour la voiture de S. Loeb, il y a le karting, c'est moins cher et moins dangereux pour la voiture et les autres...



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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Vous me faites rire quand même à dire, ah non c'est pas pour moi, c'est trop dur,etc...
J'ai du rester un gosse, attiré par les choses qui ne sont pas pour moi, j'ai aussi tenté l'expérience, j'ai pris une claque, je recommencerai peut être quand même (oh le vilain garçon!) et franchement c'est une bonne expérience qui enrichit je trouve, AMHA

J'ai du rester un gosse, attiré par les choses qui ne sont pas pour moi, j'ai aussi tenté l'expérience, j'ai pris une claque, je recommencerai peut être quand même (oh le vilain garçon!) et franchement c'est une bonne expérience qui enrichit je trouve, AMHA

Driver & FW n°3 JPX 850
MP-H5 n°1
MP-H4 n°3
MP-5 4-PW
MP-T4 Black Raw 52 & 58
Putter MP Craft S-101
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Mouais..... C'est un truc qu'il faut faire de temps en temps, pour se rendre compte qu'on est mauvais.. Comme faire un match play contre un gars qui est 0 !
Un gros drive est souvent suivi d'une grosse gratte...
Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Je trouve juste dommage de ne pas avoir fini les trous où scorer n'était plus possible. Comme un débutant, on relève sa balle jusqu'au 135m et on "profite" du green, non ?
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Clem25 a écrit :Vous me faites rire quand même à dire, ah non c'est pas pour moi, c'est trop dur,etc...![]()
J'ai du rester un gosse, attiré par les choses qui ne sont pas pour moi, j'ai aussi tenté l'expérience, j'ai pris une claque, je recommencerai peut être quand même (oh le vilain garçon!) et franchement c'est une bonne expérience qui enrichit je trouve, AMHA
100% du même avis. Même sous la flotte jamais pendant le parcours je n'ai souhaité être ailleurs. Je ne l'ai pas dit explicitement, mais jouer un parcours aussi difficile sous la flotte et ne rapporter "que" 25pts stableford était un moment merveilleux>. Le parcours à gagné, mais je n'ai rendu qu'une seule croix donc j'ai gagné ma petite bataille. Et puis quel parcours ! je n'avais pas ressenti ça depuis avoir joué les Bordes en 92/93

l'an prochain je le refait, mais peut-être comme certains, pour le plaisir, en partie amicale le lendemain ou surlendemain de l'Open et si possible avec des joueurs de GT. Je suis navré de ne pas avoir pu accompagner Steph cette année on se serait surement marré

Driver TM RBZ 10.5° stiff
Bois 3 Callaway X stiff 15°
Hybride 2 Cobra AMP Rip siff 17°
Série Ping I20 / Shaft CFS
Wedges Wilson Staff FG 50 - 56
Putter Odyssey Metal-X #9
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Merci à toi pour ce récit, qui bizarrement m'a donné envie. Mais pas dans une optique de résultat, juste pour essayer.
Car quel sportuf n'a jamais rêvé de:
* conduire la formule1 de Shumacher
* tuber à Teahupoo
* Tirer un penalty avec Fabien Barthez dans les buts
* Retourner le service de Federer à Wimbledon
Et bah le golf permet de faire ça, et tous les ans en plus. En attendant qu'il permettent ça à Augusta
Car quel sportuf n'a jamais rêvé de:
* conduire la formule1 de Shumacher
* tuber à Teahupoo
* Tirer un penalty avec Fabien Barthez dans les buts
* Retourner le service de Federer à Wimbledon
Et bah le golf permet de faire ça, et tous les ans en plus. En attendant qu'il permettent ça à Augusta

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Driver TM R11S
Série Ben Hogan Apex
SW Ping eye2
Wedge Titleist Vokey 56°
Putter Scotty Cameron Studio Design 5.1
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Sympa, mais même des rouges j'aurais pas le niveau.
Sinon, le 17 du TPC Sawgrass... ça ce serait le rêve à jouer... voir en combien de balles je reste sur le green
Sinon, le 17 du TPC Sawgrass... ça ce serait le rêve à jouer... voir en combien de balles je reste sur le green

2012/2016 : 54 -> 21,7
2017 : 21,7 -> ???
Driver : Nike Vapor Flex 12° / Graffaloy ProLaunch Blue 65
Bois : B5 Toski / Wishon S2S Black 65
Hybride : H3 Cleveland Mashie / Wishon S2S Red Hybrid R
Fers : 4-PW Mizuno MP54 / Nippon 1150GH Tour
Wedges : 52°/ 56°/ 60° Maltby LE Forged
Putter : Odyssey White Hot #7
2017 : 21,7 -> ???
Driver : Nike Vapor Flex 12° / Graffaloy ProLaunch Blue 65
Bois : B5 Toski / Wishon S2S Black 65
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Putter : Odyssey White Hot #7
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Le 17 de Sawgrass
Je crois qu'il y a plus de 100.000 balles chaque année qui vont dans le lac






Je crois qu'il y a plus de 100.000 balles chaque année qui vont dans le lac

Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
J'ai eu la chance de le jouer l'an dernier en compète amicale en scramble à 3, juste avant qu'ils ferment le parcours aux plus de 24...
Ben on s'est marré comme des baleines, perdus plein de balles (juste pas possible ces roughs et ces longueurs de départ ne serait ce que des jaunes...) et finalement scoré pas si mal à 3 !
Effectivement l'impression d'être un enfant et de jouer sur un truc d'adulte: trop grand, trop dur, mais tellement kiffant !
et ces 3 derniers trous quand même, magnifique !
du coup cela fait partie de mes motivations de descendre mon index pour pouvoir y retourner!
Ben on s'est marré comme des baleines, perdus plein de balles (juste pas possible ces roughs et ces longueurs de départ ne serait ce que des jaunes...) et finalement scoré pas si mal à 3 !
Effectivement l'impression d'être un enfant et de jouer sur un truc d'adulte: trop grand, trop dur, mais tellement kiffant !
et ces 3 derniers trous quand même, magnifique !
du coup cela fait partie de mes motivations de descendre mon index pour pouvoir y retourner!
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les bunkers sont nos amis.
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Tuber à Teahupoo, il faut juste ne pas aimer la vie... Car un vrai teahupoo, c'est l’ascenseur direct assuré même avec un bon niveau de surf...tonirangling a écrit :Merci à toi pour ce récit, qui bizarrement m'a donné envie. Mais pas dans une optique de résultat, juste pour essayer.
Car quel sportuf n'a jamais rêvé de:
* conduire la formule1 de Shumacher
* tuber à Teahupoo
* Tirer un penalty avec Fabien Barthez dans les buts
* Retourner le service de Federer à Wimbledon
Et bah le golf permet de faire ça, et tous les ans en plus. En attendant qu'il permettent ça à Augusta
Pour les non surfeurs, teahupoo en mode normal

En mode peur

En mode "Parcours de l'Albatros en lendemain d'european tour"

Et les conséquences qui vont avec...

Pour finir le mode "J'ai slicé et perdu ma balle dans le gros rough"

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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Énorme la comparaison.
J'espère juste ne pas être dans le même état que le mec en sang :/ je fais du golf, je ne veux pas mourir
J'espère juste ne pas être dans le même état que le mec en sang :/ je fais du golf, je ne veux pas mourir

- Taofeus
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
On va juste dire que les conséquences d'une balle slicée sont moins graves que celles d'une chute dans le tube.... 

PUTTER : Odyssey White Hot Pro #1
FERS :Taylor RocketBladez (PW (45°)), Cleveland 588 Satin 50.08, 56.14 et 60.12
HYBRIDES : 4 (22°) et 5 (25°) Cobra Baffler Rail-H
BOIS : 3 (15°) et 5 (18°) TM Burner Superfast
DRIVER : 10.5° Cobra AMP-D
SAC : TM Supreme Hybrid
FERS :Taylor RocketBladez (PW (45°)), Cleveland 588 Satin 50.08, 56.14 et 60.12
HYBRIDES : 4 (22°) et 5 (25°) Cobra Baffler Rail-H
BOIS : 3 (15°) et 5 (18°) TM Burner Superfast
DRIVER : 10.5° Cobra AMP-D
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Excellent !!! 

2013 : 23.8 - 16.4
2014 : 16.4 - 14.6 - 14.8
2015 : 14.8 - 14.9 - 9.6 - 9.8....
2016 : 9.8 - 10.1 - 7.4 - 7.6
2017 : .......................
2018 : 7.6 - 7.7 - 7.8 - 7.9 - 8.0 - 8.1 - 8.2 - 8.3 - 8.4 - 8.5 - 8.5 - 8.6
2019 : 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.8 - 8.9
2014 : 16.4 - 14.6 - 14.8
2015 : 14.8 - 14.9 - 9.6 - 9.8....
2016 : 9.8 - 10.1 - 7.4 - 7.6
2017 : .......................
2018 : 7.6 - 7.7 - 7.8 - 7.9 - 8.0 - 8.1 - 8.2 - 8.3 - 8.4 - 8.5 - 8.5 - 8.6
2019 : 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.8 - 8.9
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Ca dépend du roughTaofeus a écrit :On va juste dire que les conséquences d'une balle slicée sont moins graves que celles d'une chute dans le tube....


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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Encore j'ai été gentil, la surfeuse Keala kennely, surfeuse de grosse vague réputée a fait une très mauvaise chute la bas, et voici le résultat...
Moralité, Teahupoo ne se joue pas des jaunes...

Moralité, Teahupoo ne se joue pas des jaunes...

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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
Bon j'ai eu la chance d'hab**** pendant 20 ans à deux pas du Golf National.
Ne me suis mis au Golf que Fin 2009 et suis parti sur Lyon en 2010
Donc pas le temps nécessaire d'avoir un index inférieur à 24.4 pour aller fouler l'Albatros
Suis monté pour voir l'ODF début Juillet et depuis peu mon index est à 23.8...
Ce que je voudrai à certains moments être encore là haut pour ne pas avoir à me dire : QUAND VAIS-JE POUVOIR LE JOUER ??
Ne me suis mis au Golf que Fin 2009 et suis parti sur Lyon en 2010
Donc pas le temps nécessaire d'avoir un index inférieur à 24.4 pour aller fouler l'Albatros
Suis monté pour voir l'ODF début Juillet et depuis peu mon index est à 23.8...
Ce que je voudrai à certains moments être encore là haut pour ne pas avoir à me dire : QUAND VAIS-JE POUVOIR LE JOUER ??

2013 : 23.8 - 16.4
2014 : 16.4 - 14.6 - 14.8
2015 : 14.8 - 14.9 - 9.6 - 9.8....
2016 : 9.8 - 10.1 - 7.4 - 7.6
2017 : .......................
2018 : 7.6 - 7.7 - 7.8 - 7.9 - 8.0 - 8.1 - 8.2 - 8.3 - 8.4 - 8.5 - 8.5 - 8.6
2019 : 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.8 - 8.9
2014 : 16.4 - 14.6 - 14.8
2015 : 14.8 - 14.9 - 9.6 - 9.8....
2016 : 9.8 - 10.1 - 7.4 - 7.6
2017 : .......................
2018 : 7.6 - 7.7 - 7.8 - 7.9 - 8.0 - 8.1 - 8.2 - 8.3 - 8.4 - 8.5 - 8.5 - 8.6
2019 : 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.7 - 8.8 - 8.9
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
bon les grosses vagues finalement c'est pas mon truc, je vais retourner taper desballes 

Driver TM RBZ 10.5° stiff
Bois 3 Callaway X stiff 15°
Hybride 2 Cobra AMP Rip siff 17°
Série Ping I20 / Shaft CFS
Wedges Wilson Staff FG 50 - 56
Putter Odyssey Metal-X #9
Bois 3 Callaway X stiff 15°
Hybride 2 Cobra AMP Rip siff 17°
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Wedges Wilson Staff FG 50 - 56
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Re: J’AI JOUÉ L’ALBATROS DANS LES CONDITIONS DE L’OPEN...
J'arrête le HS après ça...
Note qu'on bon coup de fer 3 doit donner le même résultat!
Note qu'on bon coup de fer 3 doit donner le même résultat!