Quelqu'un pourrait-il m'expliquer l'impact des transitions lente et rapide entre le BS et le DS ?
Merci.

Groupir
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Entre ce que l'on ressent ou pense faire puis la réalité , il a parfois ........un mondetibo25 a écrit :Perso je garde toujours mon poids sur la jambe gauche, durant mon BS mon poids est à 80% sur ma jambe gauche on va direil n'y a jamais vraiment de transition entre les deux jambes.
Oui j'avoue !surderien a écrit :
Entre ce que l'on ressent ou pense faire puis la réalité , il a parfois ........un monde![]()
C'est çà , tu compenses grave pour effectuer des trajectoires cohérentestibo25 a écrit :Oui j'avoue !surderien a écrit :
Entre ce que l'on ressent ou pense faire puis la réalité , il a parfois ........un monde![]()
Jouer des coups balle-terre c'est pas mon problème non, par contre oui, jouer tout les coups en draw la ça devient plus difficile, surtout avec mon bois 3 13* , ou alors sur les long fers
Mais j'avoue avoir un swing particulier au niveau du maintien de mes poignés ce qui me fait maintenir une balle droite
+10000Groupir a écrit :Pour en revenir au thème, je constate, à chaque swing, que quand la transition se fait "au ralenti", la trajectoire de la balle est bien meilleure.
Une question d'être square comme le mentionne surderien. Mes sensations sont que, en ralentissant au sommet, cela me laisse tout le temps de bien "ajuster" la balle. Comme un tireur qui prend le temps nécessaire à bien ajuster sa cible.
A signaler aussi le fait que démarrer son DS en douceur ne pénalise en rien le résultat en termes de distance parcourue par la balle. Je serais même presque tenté de dire que c'est l'inverse. Il faut accélérer dans le bas bien entendu.
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Groupir