Ce weekend avait (a) lieu le 7ème Grand Prix de la Loire (42) du Forez à Craintilleux : grosse modification cette année, le Grand Prix passe de 2 tours à 3 tours avec cut, et la limite d'index est descendue à 12.4 contre 15.4 l'année dernière (il me semble).
Le parcours du Golf du Forez m'est parfaitement connu même si je suis membre et licencié au Superflu : les conditions sont donc parfaites pour mon premier Grand Prix


Évidemment, vu mon index, je pars en antépénultième partie le premier jour derrière une partie de trois joueuses (que nous retrouverons encore devant nous le lendemain) : nous jouons sous 35° et les 4L d'eau sont bien nécessaires. Je signe une carte à +20 sur ce par 70 avec un aller à +8 entaché par deux doubles bogeys mais je commence très mal le retour avec un quadruple sur le 10


Comme dit l'adage, "Demain est un autre jour" : une entrevue avant l'échauffement avec mon pro me permet de me motiver et de ne pas partir défaitiste. L'aller se passe en effet très bien puisque je le termine à +5 en prenant encore un double sur le 8 (encore un par 4 de 410m avec HL à droite). Le retour se passe aussi assez bien puisque je suis +8 au départ du 17 mais la catastrophe arrive

Sur le 17, bon coup de driver pleine piste : j'avais vu que le drapeau était assez difficile à attaquer donc je veux me laisser un shot de wedge pour l'attaque de green donc je prends bois 5 que je mets... hors limites à gauche

Sur le 18, bonne mise en jeu au bois 3, il me reste 100m au green vent de face mais je décide de jouer un PW en 3/4 de swing (alors qu'un plein shot aurait très bien fait l'affaire) : je termine donc plugé dans le bunker, 2 coups pour en sortir et 2 putts pour terminer sur un double.
Je finis donc le 2ème (et dernier tour) pour moi à +13 et avec quelques regrets tout de même.
Dans tous les cas, c'était une très bonne expérience que j'appréhendais notamment en ce qui concerne la pression (y compris des arbitres) mais le parcours préparé aux petits oignons

Bref, n'hésitez pas à vous inscrire : heureusement que le directeur de mon golf m'a poussé, sinon je n'aurai jamais osé et jamais découvert ces sensations
