Normalement, quand on arrive vers les 20 d'index, c'est l'époque où on achète une série bien exigeante, limite injouable parce qu'enfin, on sait jouer maintenant, et qu'on en a des grosses comme ça. Sisi, ça arrive à plein de monde, y compris des gens très biens. Même moi j'y suis passé, en dénichant une des séries les plus difficiles à jouer du marché actuel, des J36 blades de chez Bridgestone. Ne cherchez pas, même les pros n'en veulent pas. Mais c'était juste parce que c'est une des plus belles séries esthétiquement parlant depuis longtemps (c'est du pur japonais quand même), et au cas où l'idée saugrenue me traverserait l'esprit que je sais jouer, il me suffit juste de taper 3 balles avec le fer 6

Et ça fait beau dans l'entrée de la maison, ces micro têtes qui brillent à la lumière
Mais de ça je n'ai pas honte, c'est dans le logique des esprits ravagés des golfeurs accros, tendance matos addict. Je suis sûr que certains se sont reconnus dans les lignes plus haut.
Non, ma véritable honte, c'est que je suis passé du coté obscur de la force. J'ai abandonné les vrais shafts d'homme, en acier qui brille, pour tester des shafts de gonzesse, en graphite. Je sais, c'est terrible, ma virilité est définitivement broyée. Mais c'est quand même confortable à taper, ces shafts en plastique. Et quand on décentre un chouïa, même pas mal aux mains...Rassurez vous , j'ai une excuse, il fait froid sur les practices et les terrains. Promis, dès que les températures remontent, à la cave les playmobils !

Either a green unicorn just raced across the lab, or I accidentally took some LSD