La technique de la rupture
Modérateur : Modérateurs
La technique de la rupture
Je vous donne un truc qui marche très bien chez moi, surtout au putting.
Lorsque plus rien ne va dans mon jeu, et que la carte de score commence à faire la tronche, j'ai une technique infaillible : la rupture !
J'explique, car j'en entends déjà dire "c'est quoi le rapport avec ma femme, j'ai pas envie de la quitter moi ...". Mais non, mais non, je parle de rupture dans votre swing.
Dans une telle situation, le premier reflexe est de vouloir bricoler son geste et de se concentrer sur les détails, position des mains, des épaules, des jambes, de la tête, alouette. Conséquence on va ''bricoler'' son swing et le résultat peut être encore pire.
Ce que je fais plutôt c'est de complètement casser mon geste, mais attention c'est de façon provisoire ! Exemple au putting : je décale complètement mon pied droit en arrière, j'aligne mes pieds à gauche. L'intérêt est d'empêcher le cerveau de se focaliser sur ce qui ne marche pas, et d'obliger le subconscient à penser à autre chose.
Attention si vous essayez cette méthode, cela nécessite d'avoir une bonne base technique et que votre mémoire gestuelle soit quand même bien assimilée. De plus, ça va à l'encontre totale des principes du golf. Si les pros lisent ça, ils vont bondir.
En tous cas chez moi ça marche très bien, et ça m'a permis de sauver des cartes. Je l'ai fait tester à d'autres, et c'est souvent surprenant.
Et si il y a un psy sur le forum qui peut m'expliquer ce phénomène, je suis preneur.
Lorsque plus rien ne va dans mon jeu, et que la carte de score commence à faire la tronche, j'ai une technique infaillible : la rupture !
J'explique, car j'en entends déjà dire "c'est quoi le rapport avec ma femme, j'ai pas envie de la quitter moi ...". Mais non, mais non, je parle de rupture dans votre swing.
Dans une telle situation, le premier reflexe est de vouloir bricoler son geste et de se concentrer sur les détails, position des mains, des épaules, des jambes, de la tête, alouette. Conséquence on va ''bricoler'' son swing et le résultat peut être encore pire.
Ce que je fais plutôt c'est de complètement casser mon geste, mais attention c'est de façon provisoire ! Exemple au putting : je décale complètement mon pied droit en arrière, j'aligne mes pieds à gauche. L'intérêt est d'empêcher le cerveau de se focaliser sur ce qui ne marche pas, et d'obliger le subconscient à penser à autre chose.
Attention si vous essayez cette méthode, cela nécessite d'avoir une bonne base technique et que votre mémoire gestuelle soit quand même bien assimilée. De plus, ça va à l'encontre totale des principes du golf. Si les pros lisent ça, ils vont bondir.
En tous cas chez moi ça marche très bien, et ça m'a permis de sauver des cartes. Je l'ai fait tester à d'autres, et c'est souvent surprenant.
Et si il y a un psy sur le forum qui peut m'expliquer ce phénomène, je suis preneur.
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- Double Bogey Expert
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- stephane
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Intéressant. Je le fais d'une façon sans l'appeler "rupture" : quand j'en ai marre, je réfléchis plus tout simplement, ni au transfert, ni au grip, ni au stance, etc.
C'est limite si je tape pas la balle en marchant. Et souvent ce sont les meilleurs coups qui sortent
Va savoir !
Steph
C'est limite si je tape pas la balle en marchant. Et souvent ce sont les meilleurs coups qui sortent
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Steph
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- Par Expert
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Jour sans hier, technique de la rupture adoptée : jeter très fort son club par terre et hurler des insanités, ça n'améliore rien mais ça a fait du bien.
Deux paramètres en cause : niveau de jeu atroce certes et jeu lent devant et ça, c'est horripilant au possible, lorsque rien ne marche, j'aime jouer vite, ne pas réfléchir et ça oblige à l'inverse.
Illustration : Départ en forêt avec dogleg droite en côte, jour avec, pas de réflexion, grosse frappe au drive et ça passe; quand c'est un jour sans, je joue quoi ? et là c'est parti dans les réflexions métaphysiques à calculer le niveau de risque alors que j'y suis jusqu'au cou déjà... alors quand de plus il y a une partie lente devant, ça rend dingue
Deux paramètres en cause : niveau de jeu atroce certes et jeu lent devant et ça, c'est horripilant au possible, lorsque rien ne marche, j'aime jouer vite, ne pas réfléchir et ça oblige à l'inverse.
Illustration : Départ en forêt avec dogleg droite en côte, jour avec, pas de réflexion, grosse frappe au drive et ça passe; quand c'est un jour sans, je joue quoi ? et là c'est parti dans les réflexions métaphysiques à calculer le niveau de risque alors que j'y suis jusqu'au cou déjà... alors quand de plus il y a une partie lente devant, ça rend dingue
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- Par Expert
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Tu me veux du mal ? Si en plus un partenaire râle pendant que je peste, ya vraiment de quoi craquer... (Je me suis auto-caricaturé evidemment Je pense être un joueur détendu mais je déteste le jeu lent, j'aime bien joué vite, trop vite souvent)goldhands a écrit :Il faut te maîtriser un minimum.
Si tu joues accompagné, eh bien la partie lente de devant est aussi pour tes partenaires.